C’était inattendu. Un des plus grands propriétaires de réseaux sociaux américains, Marc Zuckerberg, patron de Facebook et Instagram, vient de virer de bord. Dans une déclaration personnelle de quelques minutes mais également celle de son Directeur des affaires mondiales de Meta, ils avouent le plus calmement du monde qu’ils ont eu tort de censurer les gens qui ne pensaient pas comme la Doxa. En d’autres termes, ces guignols nous donnent raison sur toute la ligne. Il a le culot d’admettre qu’il censurait sur Facebook ce qui est autorisé au Congrès américain ! Les sujets concernés sont toujours les mêmes : LGBT, immigration, santé/covid-19…
Suite à ces déclarations qui ont fait le tour du monde, les salariés de la Doxa parisienne ont paniqué. Leur salaire, l’argent magique qui coulait à flots depuis quelques années maintenant va disparaître. Il va falloir trouver un travail, un vrai, avec une valeur ajoutée. Du coup, nous nous délectons de la réaction de Julien Perlimpinpin que vous pourrez lire ci-dessous :
Un cadre de Facebook choque le monde en direct sur Fox News : Joel Kaplan, directeur des affaires mondiales de Meta, annonce que les plateformes mettront fin à la censure de l’ère Biden et s’allieront à Trump pour défendre la liberté d’expression :1. Biais dans la vérification des faits : Kaplan a admis que les vérificateurs de faits avaient des penchants politiques, entraînant une application inégale des règles.
2. Excès sur les sujets sensibles : les restrictions ont été trop loin sur des thèmes comme le genre LGBT, les débats trans et l’immigration.
3. Norme de liberté d’expression : « Si vous pouvez le dire à la télévision ou au Congrès, vous devriez pouvoir le dire sur Facebook et Instagram. »
4. Révision de la sur-application : Meta revoit ses règles pour éviter d’étouffer les débats.
5. Valeurs fondamentales : Kaplan affirme que ce changement restaure la vision originale de Zuckerberg en faveur du débat ouvert et de la libre expression.