La propagande est en train de préparer une nouvelle escroquerie, mettre sur le dos du réchauffement climatique l’apparition du virus SARS-CoV-2. Ils ont déjà essayé de faire ça lors de l’épidémie de choléra en Haïti en 2010 avec la complicité de l’OMS, de l’ONU, des scientifiques charlatans et des autorités politiques corrompues alors que tous savaient que c’était les casques bleus népalais qui avaient importé le virus responsable de dizaines de milliers de morts depuis. C’est le professeur marseillais Renaud Piarroux qui a fait cette découverte ; il explique toute cette histoire dans son livre Choléra, aux éditions CNRS (2019). Il parle également de la mise en avant par Bill Gates d’un faux risque d’épidémie de choléra en Haïti dans le but de faire vacciner tout le monde ! Kill Bill oublie juste de dire que le choléra n’existe plus sur place et pourtant le Lancet va publier les travaux des laquais de Bill Gates et participer à l’escroquerie.
Voir la vidéo Thinkerview :
ecoutez bien cette interview pic.twitter.com/y3dYv8XnVh
— sara.art (@saraart4) February 3, 2021
Le réchauffement climatique pourrait avoir joué un rôle dans le passage à l’homme du coronavirus responsable de la COVID-19, en offrant de nouveaux habitats aux chauves-souris, espèce d’origine présumée du virus, selon une étude publiée vendredi.
Des chercheurs de l’université de Cambridge ont modélisé la présence de populations de différents types de chauve-souris, en utilisant des données de température et de pluviométrie pour déterminer la localisation du type de végétation constituant leur habitat, pour cette étude publiée dans la revue Science of the Total Environnement.
Selon ces modèles, sur les 100 dernières années, 40 espèces de chauves-souris ont ainsi vu s’étendre les conditions favorables à leur présence dans une zone à cheval sur le sud de la Chine, la Birmanie et le Laos.
Chaque espèce de chauve-souris étant en moyenne porteuse de 2,7 coronavirus, ce serait donc une centaine de ces virus différents qui seraient potentiellement en circulation dans cette zone, d’où le SARS-CoV-2 est présumé être originaire.
« Nous sommes loin de dire que la pandémie ne serait pas survenue sans le réchauffement climatique. Mais il me semble difficile de dire que cette augmentation du nombre de chauves-souris et des coronavirus qu’elles portent le rende moins probable », a dit à l’AFP l’auteur principal Robert Meyer.
La chaîne de transmission exacte du SARS-CoV-2 reste à déterminer, mais le changement climatique et les destructions d’écosystèmes mettent en contact plus fréquent humains et animaux, a souligné le chercheur. « Ce sont les deux faces d’une même pièce, nous pénétrons plus profondément leur habitat et dans le même temps le changement climatique peut pousser les pathogènes vers nous ».
Plusieurs scientifiques qui n’ont pas participé à l’étude ont souligné que l’apparition de la pandémie avait des ressorts multiples.
« Le passage (de l’animal à l’homme) est le résultat de mécanismes complexes. Le changement climatique a certainement un rôle en modifiant la localisation des espèces. Mais il se pourrait que l’accroissement de la population humaine et la dégradation des habitats via l’agriculture jouent un rôle plus important », a ainsi commenté Kate Jones, professeure d’écologie et biodiversité au University College de Londres.
« Ils montrent que le changement climatique a pu avoir un impact sur les espèces au Yunnan, mais c’est à plus de 2000 kilomètres de Wuhan », où l’épidémie est apparue en Chine, a de son côté relevé Paul Valdes, professeur de géographie de l’environnement à l’université de Bristol.
Photo d’illustration : glacier : SYLVIE RUEL / AGENCE QMI
5 février 2021