Il est très difficile de ne pas avoir la nausée juste à la vue de Franz-Olivier Giesbert. Les plus téméraires, ayant le courage de l’écouter, ne peuvent échapper au reflux gastrique le plus désagréable. Tout ce qu’il inspire n’est que fausseté, tromperie et hypocrisie.
Publié le 3août 2017
L’Ojim inaugure un nouveau format de portrait vidéo réservé aux “stars” du journalisme. À tout seigneur tout honneur : celui qui symbolise à lui tout seul les compromissions du journalisme avec le monde politique est le premier croqué. Voici Franz-Olivier Giesbert ou la connivence tranquille…
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