Il est tout de même extraordinaire de voir cette situation perdurer depuis des décennies, imposée par l’entité sioniste scélérate juste parce que Hitler a fait ce qu’il a fait alors que le peuple palestinien n’a strictement rien à voir avec le malheur des juifs. Tout ceci avec la complicité du monde qui se dit « libre » et moralisateur et qui, à longueur de temps, laisse faire ces criminels en faisant semblant de ne rien voir.
Dans la bande de Gaza, les rassemblements se poursuivent chaque semaine à la barrière de séparation avec Israël.
Entamée le 30 mars dernier, la Grande Marche du retour qui exige la fin du blocus et le retour des réfugiés palestiniens a déjà causé la mort de plus de 130 manifestants et plus de 4 000 blessés par balles réelles.
L’enclave palestinienne est pourtant en proie à un mal plus répandu mais invisible : celui de la détresse psychologique de ses deux millions d’habitants. Des blessures qui se réveillent dans un contexte de plus en plus instable. Le reportage de notre correspondante dans les Territoires Palestiniens,
Marine Vlahovic – rfi