C’est les élites frontistes de demain, la grande classe, la tenue de grands hommes d’État. Cette vulgarité est à l’image d’Alain Soral ou des ITW de Philippe Péninque à la grossièreté lourde et inutile. Dire que Steeve Briois est le Vice-président actuel du Front national !!! En réponse aux critiques, il assume et affirme via un tweet : « J’en suis fier ! » !
Peut-on rappeler que l’ex-coiffeur visagiste bénévole de Marine Le Pen, Christopher D., a quitté le FN pour harcèlement sexuel…
Lors d’une séquence filmée dans les couloirs du Parlement de Bruxelles pour la magazine Envoyé Spécial, le député européen FN (et maire d’Hénin-Beaumont) Steeve Briois se distingue en adressant un doigt d’honneur aux journalistes de France 2 enquêtant sur les emplois présumés fictifs du parti.
Le magazine de France 2, Envoyé Spécial, a diffusé jeudi soir une enquête sur les hommes de l’ombre du Front National, son financement et ses affaires judiciaires en cours, notamment celle des emplois présumés fictifs de ses assistants déclarés au Parlement Européen. Lors d’une séquence filmée à Bruxelles, les journalistes de France 2 tentent d’interpeller la députée européenne frontiste Sophie Montel, sommée de rembourser 77 000 euros au Parlement Européen, une somme correspondant aux salaires versés à son assistant Kevin Pfeffer, l’institution ne disposant « d’aucune justification (…) apportée sur (son) activité » sur la période août 2014-février 2015. Suivie dans les couloirs du Parlement par la caméra, Mme Montel refuse de répondre aux questions. « Attendez les jours qui viennent, vous verrez la réponse du berger à la bergère« , menace-t-elle avant de s’enfermer dans son bureau.
Interviennent alors des agents de sécurité alertés par un membre du Front National qui estime que les journalistes n’ont pas le droit de se trouver dans les couloirs du Parlement, ce que l’équipe de reportage conteste, affirmant elle que le règlement l’y autorise. D’autres assistants du FN interviennent à leur tour, tandis que Steeve Briois, député européen, maire d’Hénin-Beaumont et vice-président du parti de Marine Le Pen, s’arrête pour filmer les journalistes avec son smartphone. Lorsqu’il repart, il leur adresse, sourire et majeur levé, un doigt d’honneur. Du « langage des signes« , ironise la voix-off du reportage…