Après la baisse du chiffre d’affaires de cette gigantesque entreprise d’empoisonnement, suivie du licenciement de plus de 2000 personnes, ne voilà-t-il pas que leur immeuble de La Mézière prend feu ! C’est certainement un avant goût des flammes de l’enfer pour tout le bien rendu sur Terre depuis qu’ils existent. On entend d’ici le crépitement du feu infernal. Ils auront ainsi à se rendre compte de la Souveraineté du Vrai Créateur….
Vers une heure ce mercredi matin, la station de recherche de Monsanto à La Mézière, près de Rennes, a été partiellement détruite par un incendie. Une dizaine de personnes se retrouvent au chômage technique.
Une trentaine de pompiers d’Ille-et-Vilaine ont lutté cette nuit contre l’incendie du centre de recherche spécialisé en maïs ensilage de la société Monsanto, basé à La Mézière. Le feu s’est déclaré peu après 1 heure dans la partie administrative du bâtiment situé zone artisanale Montgervallaise. Une centaine de m2 de bureaux ont été détruits. Cet incendie entraîne un chômage technique pour la dizaine d’employés du site, les locaux étant complètement inutilisables.La piste criminelle privilégiéeEn milieu de matinée, le responsable du site Jakob Witten est revenu sur les événements de la nuit. Il indique que “la piste criminelle est privilégiée”. L’enquête de gendarmerie en cours devra déterminer le déroulement des faits. Deux départs de feu différents auraient été répertoriés. Les gendarmes de l’identification criminelle étaient sur place ce matin afin de relever des indices. Les caméras de sécurité présentes sur le site seront également étudiées.Une mission R&DLa station de recherche de La Mézière spécialisée en maïs ensilage organise la sélection de maïs conventionnel pour le marché européen. « Il n’y a aucun travail sur les OGM dans cette station, affirme Jakob Witten. Nous respectons scrupuleusement les lois et nous sélectionnons uniquement du maïs conventionnel ». Conscient que la société Monsanto cristallise les tensions autour d’une question sociétale, le jeune homme invite les citoyens à s’emparer de ce débat mais « condamne fermement cet acte » dont l’origine serait criminelle, selon lui.