C’est avec ce genre d’information que l’on comprend que la France n’existe plus et qu’elle n’est qu’un petit état soumis aux diktats de l’empire Yankee. Alors que le président US s’est parjuré en se retirant unilatéralement d’un accord international qu’il a signé de sa main, il devrait y avoir un consensus international pour condamner un tel comportement indigne. On ne peut que constater la vassalisation et la soumission des états européens au grand méchant loup Yankee puisqu’ils se sont tous soumis à ce désordre quitte à perdre beaucoup d’argent, des milliards d’euros, dans un marché iranien demandeur et très riche.
Alors que la France est en matière économique sous l’eau avec un taux de croissance parmi les plus faibles au monde, avec une dette gigantesque et un taux de chômage catastrophique, le gouvernement est incapable de veiller à l’intérêt de son peuple terrorisé qu’il est par Washington ! De toute façon personne ne le lui reprochera puisque l’attention de tout le monde est à 100 % accaparée par l’islam et les musulmans comme vous pouvez le constater quotidiennement…
Téhéran : Le géant pétrolier français Total s’est officiellement désengagé de ses projets d’investissements de plusieurs milliards de dollars en Iran, une conséquence directe du rétablissement des sanctions américaines contre ce pays et de l’incapacité de grands groupes européens à s’y soustraire.
« Total a officiellement mis fin à l’accord pour le développement de la phase 11 du (gisement gazier) South Pars », a dit le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namdar Zanghaneh, à l’agence Icana, liée au Parlement.
« Cela fait plus de deux mois qu’il avait annoncé qu’il mettrait fin au contrat », a-t-il ajouté.
Devant le Parlement, M. Zanghaneh a par ailleurs souligné l’état désastreux, selon lui, des infrastructures pétrolières et gazières, nécessitant une rénovation que l’Iran ne peut financer.
Après son retrait unilatéral en mai de l’accord nucléaire conclu en 2015 entre Téhéran et les grandes puissances, Washington a rétabli le 6 août une première série de sanctions contre Téhéran, suivie d’une deuxième en novembre qui ciblera le secteur pétrolier.
Les autres signataires de l’accord — Grande-Bretagne, France, Allemagne, Chine et Russie — ont émis le souhait de ne pas s’en retirer, mais leurs entreprises risquent de lourdes sanctions si elles restent.
Total avait déjà indiqué qu’il lui serait impossible de rester en Iran sans une dérogation de la part des autorités américaines, qui ne lui a pas été accordée.
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