Il reste des hommes debout, des hommes dignes dans ce pays. Des hommes qui refusent l’absurdité et l’imbécillité de ces décisions politiques dangereuses pour la santé publique !
Face à la polémique autour du traitement à base d’hydroxychloroquine préconisé par le professeur Didier Raoult, trois avocats ont décidé de lancer une action collective.
Ils souhaitent faire annuler le décret qui interdit aux médecins de prescrire ce médicament, mais également tenter de comprendre les enjeux de cette polémique.
C’est l’un des sujets phare de cette crise sanitaire : le traitement à base d’hydroxychloroquine mis en avant par le professeur marseillais Didier Raoult. Au cœur de nombreux débats ces dernières semaines, ce sujet va désormais faire l’objet d’une action collective en justice appelée « Le droit de soigner et d’être soigné », rapporte La Dépêche du Midi.
BONNE NOUVELLE
Les 10.000 inscrits à l’action collective Le #droit de #soigner & d’être soigné ont été atteint. Un grand MERCI à toutes les personnes qui nous soutiennent !
.#chloroquine #covid19 #santé #traitement #medecin #professionneldesante #patient #ONG #RaoultCette initiative a été lancée par trois avocats d’un même collectif, vendredi 22 mai. Et un de leurs objectifs est de faire annuler le décret qui interdit aux médecins de prescrire ce traitement.
Les avocats veulent « mettre fin à la polémique »
« Les généralistes ont fait des études, ils sont responsables de leur choix. Ils n’arrosent pas un champ, mais traitent une personne qu’ils connaissent bien. Pourquoi leur retirer la liberté fondamentale de pouvoir prescrire ? », s’est interrogé Christophe Lèguevaques, l’un des initiateurs de cette action collective.
Ces juristes souhaitent aller plus loin dans leur démarche. Ils ont également demandé la « communication de documents et d’informations permettant de vérifier les différentes déclarations » d’instances publiques et privées. Ils assurent vouloir « mettre fin à la polémique », et notamment à celle des masques, grâce à ces éléments, qui feraient office de preuves judiciaires, relate La Dépêche du Midi.
Enfin, une dernière action reste« secrète » et n’a pas été communiquée. Chacun peut participer grâce à un système d’abonnement à 3,50 € permettant d’obtenir « des informations mais aussi de générer un fonds de soutien pour les procédures ».
Une étude parue vendredi dans la revue scientifique The Lancet pointe l’inefficacité de la chloroquine et […]
Photo d’illustration : Une boîte de Plaquénil contenant de l’hydroxychloroquine. | PHILIPPE RENAULT / OUEST-FRANCE.
26 mai 2020