Cet article commence par poser la question suivante au lecteur : “Saviez-vous que l’âge moyen des décès dus au COVID-19 au Canada en 2020 était de près de 84 ans, alors que l’âge moyen au décès au Canada en 2019 n’était que de 76,5 ans ?” ! Effectivement, si le lecteur sait ça, il ne panique plus et comprend que tout ceci est une gigantesque mascarade car le covid19 tu des gens plus âgés que l’espérance de vie au Canada (mais également ailleurs dans le monde) ! Avoir autant maltraité les enfants en fermant les écoles et en confinant si longtemps est juste criminel, on le sait maintenant. Point. Le reste n’est que charlatanisme, propagande et Big Pharma.
Cet article est publié par des chercheurs et universitaires canadiens qui s’alarment de cette dérive criminelle aux conséquences désastreuses, selon eux : “une étude estime que 5 à 10 fois plus de vies seront perdues en raison des confinements (mesurés en années de vie perdues prématurément, c’est-à-dire que les Canadiens meurent plus tôt qu’ils ne le feraient sans confinement), par rapport à toutes les vies qui pourraient ont été économisés, et une autre étude évalue les coûts jusqu’à 282 fois supérieurs aux avantages.”
Pour finir, le Canada doit rouvrir complètement et reprendre une vie normale, tout en rétablissant la préparation à une pandémie établie de longue date ! Il faut mettre fin à cette hystérie criminelle mise en place par des politiciens corrompus et une industrie pharmaco-chimique folle !
Signataires :
Saviez-vous que l’âge moyen des décès de COVID-19 au Canada en 2020 était de près de 84 ans, alors que l’âge moyen des décès au Canada en 2019 n’était que de 76,5 ans ?
On pourrait penser que ces données de Statistique Canada publiées le 1er juin donneraient aux politiciens, aux responsables de la santé publique et aux médias des raisons de réexaminer la menace du SRAS-CoV-2 et d’envisager des mesures d’intervention en fonction de l’âge.
Un fardeau extraordinaire est imposé aux enfants, aux jeunes et aux jeunes familles, qui ne sont pratiquement pas exposés au virus et ne contribuent pas non plus de manière significative à sa transmission. Et les mesures d’urgence générales sont prolongées pour la énième fois, alors qu’elles n’ont été que très peu efficaces au cours des 15 derniers mois.
Nous sommes un groupe d’universitaires titulaires d’un doctorat en sciences naturelles et sociales ainsi qu’en sciences humaines. Ce que nous avons en commun, c’est la pratique quotidienne de l’esprit critique et le respect de la méthode scientifique.
La science remet continuellement en question les découvertes précédentes, explore de nouvelles approches et les valide ou les réfute à l’aide de preuves. En tant que scientifiques et universitaires, nous rejetons catégoriquement la notion de « science établie ». La science ne se fixe jamais.
Ce que nous savons sur COVID-19 a changé au cours des 15 derniers mois. Par exemple, saviez-vous que la transmission asymptomatique n’est plus considérée comme pertinente pour la propagation du SRAS-CoV-2 ? Pourtant, pourquoi les implications de la science actualisée sur les mandats des masques et la distanciation sociale ne sont-elles pas discutées ?
Comment la moitié des États-Unis peut-elle revenir en toute sécurité à l’ancienne normalité, sans masque obligatoire, sans règles d’éloignement ni exigences en matière de vaccins, alors que la province de l’Ontario maintient l’une des restrictions les plus strictes au monde en matière de libertés civiles ? Pourquoi les médecins dissidents sont-ils réduits au silence par leurs organisations professionnelles et les médias, au lieu d’être écoutés et contre-interrogés ?
Au début de l’année 2020, la transmission asymptomatique a été soupçonnée de présenter un risque suffisamment important pour que le nouveau coronavirus fasse l’objet de mesures de confinement et de restriction de la mobilité sans précédent. Normalement, toute politique gouvernementale importante fait l’objet d’une analyse coûts-bénéfices – pourquoi n’a-t-on pas fait cela pour les mesures relatives au COVID-19 ?
Des chercheurs canadiens indépendants prédisent un bilan dévastateur : une étude estime que les mesures de confinement entraînent la perte de 5 à 10 fois plus de vies (mesurées en années de vie perdues prématurément, c’est-à-dire que les Canadiens meurent plus tôt qu’ils ne le feraient sans confinement), par rapport aux vies qui auraient pu être sauvées, et une autre étude estime que les coûts sont jusqu’à 282 fois supérieurs aux bénéfices.
Les dommages collatéraux des confinements sur notre santé émotionnelle, physique et mentale sont de plus en plus mis en lumière. Il en va de même pour l’impact des restrictions de mobilité sur le tissu social : depuis plus d’un an, nous sommes encouragés à nous abstenir de tout contact social régulier et à percevoir ceux qui nous entourent comme des porteurs de maladie et de mort. Si l’on considère que les humains sont des êtres sociaux, il s’agit d’une expérience sans précédent qui pourrait avoir des effets dévastateurs à long terme, notamment sur les enfants.
Les États-Unis ont été un champ de bataille politique pour différentes approches de la réponse au COVID-19. Prenons l’exemple de la Californie et de la Floride. La Californie a imposé la fermeture complète des restaurants et l’obligation de rester à la maison en novembre-décembre 2020, alors que la Floride avait levé la plupart des restrictions dès septembre 2020.
Malgré les mesures strictes de la Californie, le nombre de décès quotidiens attribués au COVID19 a continué à augmenter pendant la troisième vague et a atteint un pic en janvier-février 2021. Une hausse similaire a été observée en Floride, mais le pic était moins élevé qu’en Californie, suivi d’une baisse régulière.
La Floride s’est remarquablement bien comportée, tant sur le plan sanitaire qu’économique, tout au long de la pandémie, avec une population plus de deux fois moins nombreuse que celle du Canada et un territoire semblable à celui de la Nouvelle-Écosse.
Il n’est pas nécessaire d’être diplômé en médecine ou en santé publique pour comprendre qu’il est possible que la menace du SRAS-CoV-2 ait été largement exagérée et que la réponse du monde occidental à la pandémie ait été mal gérée. Il est extrêmement dangereux de supprimer les analyses divergentes et de censurer les opinions opposées, comme cela s’est produit à propos du COVID-19 dans les médias grand public et sociaux, dans la sphère publique et sur le lieu de travail, et même dans nos universités et nos parlements.
Si nous ne maintenons pas un contrôle minutieux sur le gouvernement et les responsables de la santé publique, nous courons le risque de suivre la mauvaise voie pendant trop longtemps. C’est la situation à laquelle nous sommes confrontés actuellement, et il est impératif que nous nous arrêtions et revenions sur nos pas pour trouver un moyen raisonnable et durable de traiter le SRAS-CoV-2, comme nous le faisons pour d’autres virus endémiques.
Ce pays doit rouvrir complètement ses portes et reprendre une vie normale, tout en rétablissant une préparation à la pandémie établie de longue date.
Photo d’illustration : Une pancarte fait la promotion de la vaccination COVID-19, le mercredi 12 mai 2021, au nord de Shannonville, en Ontario. PHOTO DE LUKE HENDRY /Luke Hendry
Claus Rinner, Donald G. Welsh, Jan Vrbik, John Zwaagstra, Laurent Leduc et Valentina Capurri
Toronto Sun28 juin 2021
Claus Rinner, PhD, géographie et études environnementales, Université Ryerson ; Donald G. Welsh, PhD, physiologie et pharmacologie, Université Western ; Jan Vrbik, PhD, mathématiques et statistiques, Université Brock ; John Zwaagstra, PhD, biotechnologie, Conseil national de recherches ; Laurent Leduc, PhD, leadership, enseignement supérieur et éducation des adultes, Université de Toronto (retraité) ; Valentina Capurri, PhD, géographie et études environnementales, Université Ryerson.
Titre de l’article original en anglais : Opinion : It’s time to follow the scientific method — and re-evaluate Canada’s COVID approach
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Translator