Voici une énième agression bidon complètement fausse et inventée par des imbéciles qui ont trouvé dans les médias une caisse de résonance importante et dans les politiques des abrutis pour les soutenir. Alors que l’enquête n’avait même pas commencé et que l’on ne savait absolument pas ce qui s’était passé, de nombreux chroniqueurs télé ont expliqué qu’il fallait légiférer pour diminuer l’immigration ! Il fallait comprendre que les agresseurs étaient obligatoirement des jeunes issus de l’immigration ! Ceci nous rappelle l’énorme escroquerie relative au bar PMU “islamiste” de Sevran qui avait été rapportée sur le plateau de David Pujadas lorsqu’il était encore sur France 2 !
Bref, il semble de plus en plus clair qu’une volonté politique et médiatique de diabolisation de l’islam et des musulmans soit en cours en France.
Après la plainte d’une étudiante strasbourgeoise qui avait affirmé à la mi-septembre avoir été agressée pour sa jupe, les enquêteurs ont analysé les images de vidéosurveillance, mais aucune ne montre une agression.
Des investigations sont en cours à Strasbourg après la plainte déposée dimanche 20 septembre par une étudiante qui affirme avoir été frappée et insultée en pleine rue à Strasbourg par trois hommes, au motif qu’elle portait une jupe. Mais, selon les informations de BFMTV, les propos de la jeune femme sèment le doute du côté des enquêteurs.
Les images de surveillance ne révèlent rien
En effet, après avoir épluché plus de 40 heures de vidéos sur 26 caméras de surveillance de la ville, ils n’ont trouvé aucune trace d’une quelconque agression. Pourtant, l’étudiante affirme avoir été frappée dans la rue par trois hommes le 18 septembre. Cinq jours après cette agression présumée, elle détaillait sur notre antenne:
« Je marchais en regardant une vidéo sur mon téléphone et là, un des trois hommes a dit ‘regarde cette pute avec la jupe’. Un autre me lance ‘baisse les yeux salope’. Deux d’entre eux m’ont attrapée par les bras, le troisième m’a mis un coup dans l’œil droit », racontait alors Elisabeth.
Enquête au point mort
Mais lors de ses deux auditions devant les policiers, le récit de la jeune femme est évasif et imprécis. Elle leur décrit une scène qui se serait déroulée devant une quinzaine de témoins ; or, personne ne s’est manifesté auprès de la police pour accréditer ses dires. Conduite sur les lieux, elle est également incapable de montrer précisément où les faits se sont produits.
Les enquêteurs s’interrogent donc et se retrouvent en grande difficulté pour progresser dans cette enquête sur une agression que, pour l’heure, rien ne permet de confirmer.
De son côté, Elisabeth assure dire la vérité. Elle en veut pour preuve le cocard qui lui est resté à l’œil : « Je n’ai rien à ajouter, je ne me suis pas réveillée comme ça le matin », a-t-elle réagi aux sollicitations de BFMTV, un peu « choquée » par cette remise en question de ses déclarations.
Photo d’illustration : Badge police – Christophe SIMON © 2019 AFP
Sarah-Lou Cohen avec Ambre Lepoivre
BFMTV
7 octobre 2020