Plusieurs points sont à analyser dans ce nouveau scandale qui démontre comment les médias officiels passent leur temps à mentir et à manipuler l’opinion publique. Il s’agit ici de terrorisme climatique dont le seul objectif est de faire peur aux gens en leur faisant croire que nous allons tous mourir de soif et de chaleur. Encore une fois, il ne s’agit pas d’erreurs simples, rares et anodines mais de fake niouzes, de fausses nouvelles. De plus, il est question d’erreurs très importantes de 6 à 7° qui font grimper la température normale estivale de 35° à plus de 40 °C ! De fait, une question se pose et s’impose : pourquoi ces erreurs sont systématiquement des données majorées, jamais minorées, exactement comme ce fut le cas pour le Covid-19 ? Ensuite, comment est-il possible de se tromper si souvent, sur de nombreux pays, alors qu’il suffit de reprendre les températures locales, un simple copier-coller dont sont incapables les médias suisses ?
Enfin, vous remarquerez le comportement de la présentatrice qui explique que le service météo de SRF est victime de harcèlement causé par de méchants climatosceptiques ayant eu la mauvaise idée de faire remarquer que les relevés des températures étaient falsifiés ! C’est une inversion complète de la mécanique qui transforme le propagandiste corrompu en victime.
Un élu UDC s’indigne de la « désinformation » véhiculée par la SRF à propos de températures trop élevées annoncées pour créer une «panique climatique» avant les élections fédérales.
Une vague de chaleur a touché le bassin méditerranéen ces dernières semaines et les températures mesurées ont dépassé les 40 degrés. Le service météo de la SRF a régulièrement annoncé sur son application des températures encore plus élevées durant cette période dans cette zone, note ce mercredi le « Tages-Anzeiger ». Ce genre d’imprécision ne manque pas de faire bondir l’UDC et le journal « Weltwoche », qui dénoncent de la désinformation de la part du média de service public alémanique.
Ce dernier chercherait, selon ses détracteurs, à prévoir des températures plus élevées qu’elles ne le sont réellement pour appuyer la thèse du réchauffement climatique. Le conseiller national Thomas Matter (UDC/ZH) a récemment enfoncé le clou et accusé SRF Meteo d’être instrumentalisée « pour créer de la panique climatique en pleine année électorale ».
La météo : un sujet politisé
Thomas Bucheli, rédacteur en chef du programme météo du média alémanique, parle d’accusations « absurdes ». Il admet qu’il y a bien eu des erreurs concernant les températures en Méditerranée, mais explique qu’il s’agit d’imprécisions émanant de programmes entièrement automatisés qui fournissent les données. Des changements manuels ne sont donc pas possibles. Seuls le site internet et l’app sont concernés, les informations ayant été relayées à la télé ou à la radio ont été corrigées, poursuit le responsable.
Les données des stations météo étrangères sont moins affinées qu’en Suisse et il est difficile, malgré les messages d’erreur réguliers envoyés par des utilisateurs, de corriger ces différences, ajoute Thomas Bucheli. Les prévisions et les phénomènes météo sont toujours plus la source de débats et de récupérations politiques en Suisse. Alain Berset en avait fait les frais après avoir apporté son soutien aux victimes de la tempête du 24 juillet à La Chaux-de-Fonds. Le PLR lausannois Matthieu Carrel et l’UDC Christoph Mörgeli avaient aussi essuyé des critiques pour avoir dénoncé des prévisions jugées trop alarmistes.