Lancet Gate Bis : « le vaccin protège les femmes enceintes des complications d’Omicron »

Errare humanum est, perseverare diabolicum...

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Nous avons donc ici la démonstration que ces gens sont des criminels avec la publication de ce papier qui n’est rien d’autre qu’une énième fraude validée par le Lancet. En réalité, nul besoin de lire cette mascarade car il n’y a absolument aucune protection à donner aux femmes enceintes contre un risque qui n’existe pas. Vous voulez la preuve, la voici ; elle a été publiée par la presse de propagande. Prenons l’exemple du Monde qui a publié le 2 janvier 2021 un article qui affirme qu’il y a eu avant la commercialisation des injections d’ARN messager 188 morts de 20 à 40 ans. Si on enlève la moitié des victimes qui sont des hommes, il reste 94 femmes. Si on retire celles qui n’étaient pas enceintes ainsi que les comorbidités, il ne reste quasiment rien, sur 800 000 grossesses annuelles, le danger du Covid-19 pour les femmes enceintes est insignifiant.



Ensuite, concernant les bébés, il n’y a quasiment aucune mortalité puisqu’il est question de 4 décès de 0 à 9 ans dans la première phase de l’épidémie de Covid-19 en France, la plus violente. Il n’y a donc pas de complications de grossesses ayant conduit au décès d’un grand nombre de nourrissons, c’est un pur mensonge. Comme vous pouvez le constater sur la capture écran ci-dessous tirée d’un article de L’indépendant, au 31 octobre 2021, 12 enfants de 0 à 10 ans sont décédés avec un Covid-19 dont 3 seulement sont directement attribuables à la maladie, sur 120 000 décès. Là encore, très souvent, il est question de comorbidités sous-jacentes.

Donc, venir confirmer qu’il faut absolument vacciner les femmes enceintes alors qu’elles ne courent aucun risque est un pur mensonge, un énième mensonge validé par une revue scientifique prestigieuse qui n’en est pas à son coup d’essai. C’est d’autant plus grave que leur étude concerne uniquement une pseudo recherche sur les cas plus ou moins graves selon vaccination chez les femmes enceintes alors que l’étude devrait en réalité confirmer qu’il n’y a pas d’effets indésirables graves sur le fœtus puis le nourrisson ainsi que la maman. Cette étude n’a jamais été réalisée puisque les laboratoires n’ont pas pris le temps de la faire et ont commercialiser immédiatement leurs poisons.




La vaccination protège efficacement les femmes enceintes contre les complications dues au variant Omicron. C’est ce que montre une vaste étude internationale menée dans 18 pays et 41 hôpitaux, dont les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).

Ces travaux sont publiés dans la revue médicale britannique The Lancet par un réseau international d’hôpitaux dirigé par l’Université d’Oxford. Cette étude intitulée « INTERCOVID 2022 » a été menée entre le 27 novembre 2021 et le 30 juin 2022, ont indiqué mercredi les HUG dans un communiqué.

Les scientifiques ont étudié les dossiers de 1545 femmes enceintes diagnostiquées avec le variant Omicron et de 3073 femmes enceintes non diagnostiquées en groupe de contrôle. Résultats : durant la grossesse, le variant Omicron était associé à des risques accrus de morbidité maternelle, de complications graves et d’hospitalisation, surtout chez les femmes symptomatiques et non vaccinées.

En particulier, le risque de prééclampsie – une élévation de la tension artérielle avec atteinte des reins – était plus important chez les femmes présentant des symptômes graves. Les femmes obèses ou en surpoids avec symptômes graves étaient les plus exposées.

Mieux avec la vaccination complète

Les femmes vaccinées étaient, quant à elles, bien protégées contre les symptômes et les complications graves du Covid-19. Elles présentaient un risque très faible d’admission dans un service de soins intensifs. La meilleure prévention s’est avérée être une vaccination complète, de préférence avec une dose de rappel.

L’étude a également mis en évidence que les vaccins à ARN messager (ARNm) ont été les plus efficaces. Toutefois, ceux à vecteur viral avec un rappel ont également fourni une protection adéquate. L’immunité a été observée durant au moins dix mois après la dernière dose de vaccin à ARNm et de vaccin à vecteur viral avec rappel.

« Cette étude montre clairement les bénéfices de la vaccination durant la grossesse. Elle nous aide dans notre recommandation d’inclure la vaccination contre le Covid-19 dans les soins de routine des femmes enceintes », relève Begoña Martinez de Tejada Weber, médecin-cheffe au Service d’obstétrique des HUG et professeure à l’Université de Genève, citée dans le communiqué.

Couverture vaccinale insuffisante

Pour José Villar, professeur de médecine périnatale à l’Université d’Oxford, « il est préoccupant de constater que des symptômes graves de la maladie sont apparus chez 4% à 7% des femmes non vaccinées chez qui le variant Omicron a été diagnostiqué pendant la grossesse ».

Bien que le variant Omicron soit globalement moins nocif que les variants précédents, la grande proportion de femmes enceintes dans le monde qui ne sont pas vaccinées court toujours un risque majeur. La couverture vaccinale complète des femmes enceintes est encore insuffisante, même dans les pays développés, selon les conclusions des auteurs.

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