Alors que les journalistes de Radio France vont tenter d’émettre quelques réserves, Catherine Hill va commettre l’irréparable en affirmant que : « Franchement c’est une étude très bien faite qui montre que, un le traitement ne marche pas du tout puisqu’il augmente la mortalité et, deux, qu’il est toxique puisqu’il augmente le risque d’arythmie cardiaque » ! Le 2 juin 2020,10 jours après la publication de la plus grande fraude scientifique médicale de tous les temps, Catherine Hill prend, toute honte bue, la défense de ce torchon inqualifiable ! Comme ces gens sans vergogne n’ont pas de dignité, ils ne s’excuseront jamais et continueront d’ailleurs d’être invités sur les plateaux télé comme si de rien n’était. Elle n’est pas la seule à avoir affiché son incompétence au sujet de ce scandale puisque le Pr Juvin (sic) a fait pire lors d’une interview filmée sur Cnews affirmant que c’est une étude de très bonne qualité !
En ce qui me concerne, dès le lendemain de la publication de cette étude très médiatisée, j’ai réalisé un direct le 23 mai 2020 afin d’expliquer qu’il était matériellement impossible en 2 mois de collecter les données médicales de 96 000 patients de différents pays et d’en réaliser des travaux statistiques publiables ! C’est tout simplement matériellement impossible car il s’agit de millions de données qui nécessiteraient une centaine de chercheurs travaillant nuit et jour pendant des mois, moyen que personne ne mettra sur la table car ça coûterait extrêmement cher et personne n’irait investir des dizaines de millions de dollars pour une simple étude qui n’a pas pour objet de breveter une molécule prometteuse.
Idem pour le gouvernement, alors que le site lelibrepenseur.org a immédiatement débunké cette mascarade, l’ancien ministre de la santé Olivier Véran va utiliser cette escroquerie afin d’interdire l’utilisation de l’hydroxychloroquine en France comme vous pouvez le constater sur la capture écran ci-dessus de son tweet publié le 23 mai 2020, toujours en ligne ! Sans oublier l’avis scandaleux du HCSP qui sera publié le 24 mai 2020 en se basant également sur le Lancet gate ! Avis toujours accessible en ligne sur le site officiel. En d’autres termes, nous avons une fraude gigantesque qui a servi de support à des décisions sanitaires graves ! Cette revue n’a jamais été poursuivie par la justice et les décideurs politiques et sanitaires ne se sont jamais excusés !
Avis scandaleux du HCSP publié le 24 mai 2020 toujours en ligne :
Cet énième scandale politico-médiatique concernant la crise sanitaire n’est rien d’autre que la démonstration factuelle que les premiers diffuseurs de fausses informations et de fake niouzes sont le gouvernement et les autorités sanitaires avec la complicité des médias. Il n’y aurait pas de complot si ces derniers s’excusaient en cas d’erreur et si les Charlots qui les multiplient étaient interdits d’antenne, sauf que ce n’est jamais le cas, bien au contraire, ils récidivent systématiquement depuis 3 ans maintenant.
La confusion règne depuis des semaines sur les effets de l’hydroxychloroquine face au coronavirus. Comment apprécier la valeur scientifique des recherches sur les médicaments ?
- Catherine Hill épidémiologiste, chercheuse à l’Institut de cancérologie Gustave Roussy, a fait partie du conseil scientifique de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, écrit régulièrement pour la revue Sciences et Pseudo-Sciences
L’hydroxychloroquine n’en finit pas de diviser. En fin de semaine, des dizaines de scientifiques critiquaient publiquement la méthodologie et les données fournies par une étude publiée dans la prestigieuse revue « The Lancet », le 22 mai. Une étude selon laquelle l’hydroxychloroquine utilisée chez des malades atteints de la covid provoquait des risques accrus de mortalité. Pourquoi cette étude a-t-elle suscité la controverse ? Comment a-t-elle été réalisée ? La confusion règne depuis des semaines sur les effets de l’hydroxychloroquine face au coronavirus. Comment apprécier la valeur scientifique des recherches sur les médicaments ?
Guillaume Erner reçoit Catherine Hill, épidémiologiste, biostatisticienne, ancienne chef du service de biostatistique et épidémiologie de l’institut Gustave Roussy à Villejuif.
L’idéal, c’est d’avoir plusieurs essais, dans lesquels après tirage au sort, la population est divisée en deux. L’une reçoit le traitement expérimental et l’autre un traitement placebo. Le comité de surveillance surveille les résultats, mais les investigateurs ne savent rien. A la fin, on publie les résultats.
« On peut faire des études d’observation, comme c’est le cas avec l’étude Lancet, c’est-à-dire un recueil de données des patients, dans ce cas avec l’hydroxychloroquine. On n’est pas certains que ces patients sont pareils ».
Les 96 000 patients choisis ont été traité pour covid-19. Ils ont été divisés en cinq groupes, avec différents traitements. Le risque de décès a été étudié, avec un modèle statistique. Ils se sont rendus compte que le risque de décès était augmenté jusqu’à 45% avec le traitement.