Le covidiste Étienne Klein a plagié sa thèse selon ASI

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Cette excellente enquête d’arrêt sur image démontre que le pseudo physicien philosophe adoré par les médias parisiens a plagié sa thèse, soutenue en 1999, chez une vingtaine d’auteurs sans jamais les citer et respecter leur travail. Il s’agit du copiage de plusieurs pages entières sans vergogne ! Décidément le milieu parisien se reconnaît par cette propension à tricher, courber, plagier les autres comme ce fut le cas par exemple pour Rachel Khan dans sa chronique radio, comme ce fut le cas également pour Thierry Ardisson, Joseph Macé-Scaron, Alain Minc… et tant d’autres moralisateurs cathodiques ! C’est le règne de la médiocrité, le règne du vol et du mensonge. Comment est-il possible de croire quelqu’un qui a volé le travail intellectuel des autres car il a eu la flemme de travailler lui-même et de produire de la science et de l’intelligence ? Comme par hasard, Étienne Klein a refusé de répondre aux questions d’ASI. Cela ne l’a pas empêché de faire une conférence sur Le goût de la vérité avec l’Académie des Sciences…

On n’a rien à attendre d’un covidiot qui traine avec #RudyKissMyAss pour combattre le complotisme bla bla. Ces gens sont des anomalies produites par une société défaillante.



Étienne Klein, une thèse constellée de plagiats

Le philosophe des sciences préféré des médias a bâti sa carrière et sa légitimité scientifique à partir d’une thèse, soutenue en 1999, sur la quête de l’unité en physique. Elle a été publiée en 2000 par les Presses universitaires de France. Or, cette thèse est constellée de dizaines de paragraphes, ou même de pages entières, copiés-collés sans guillemets ni attributions. Des emprunts à une vingtaine d’auteurs et autrices, publié·es aussi bien dans des ouvrages pointus que dans des livres grand public. Confronté à notre recension, Étienne Klein a préféré garder le silence.

« Si la pensée parvenait à découvrir, dans les miroirs changeants des phénomènes, des relations éternelles qui puissent les résumer, on pourrait certainement parler d’un bonheur de l’esprit. À défaut d’être une trame nécessaire de la pensée, le désir d’unité correspond à une nostalgie, à un appétit d’absolu, à une impatience ontologique. » Ces deux (belles) phrases proviennent de la première page de L’unité de la physique (Puf, 2000), republication au mot près de la thèse en philosophie des sciences d’Étienne Klein, soutenue en 1999. Elles sont surtout copiées-collées du Mythe de Sisyphe (Gallimard, 1942) d’Albert Camus. Cette même première page contient ensuite quatre phrases recopiées à partir d’ouvrages des philosophes des sciences Je…

Source: ASI

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