Ce témoignage est véritablement explosif et peut faire renverser tout le système actuel étant donné que le Dr Philippe de Chazournes vient d’affirmer que dans un échange de mémoire avec l’ARS, cette dernière a affirmé par écrit de manière tout à fait officiel que la question du consentement libre et éclairé était de la responsabilité du praticien qui injecte l’ARN messager. Alors que le personnel soignant pense que c’est l’État qui est responsable et qu’ils seront protégés en cas de difficultés, de décès par exemple suite à une injection d’ARN messager, l’ARS, donc l’État, vient d’affirmer l’inverse, les injecteurs sont abandonnés en rase campagne.
»Le respect du consentement libre et éclairé ne relève pas de l’ARS mais du soignant », dixit l’ARS.
C’est maintenant aux conseils ordinaux de prendre leurs responsabilités face à une telle information aussi grave car il se rend responsable de ce qui va arriver aux soignants. Ils ont déjà trahi leur fonction en ne protégeant pas les intérêts des soignants et des malades lors de cette crise de covidisme hystérique, ils viennent d’être trahis par l’État et ils devront en rendre compte.