Oh le mytho ! Bon, ben maintenant, il sait au moins pourquoi l’alcool est proscrit en Islam, car ça rend très violent, stupide et pousse au mensonge. Bien sûr, au tout début d’un fait divers, les médias suivent tous comme un seul homme sans jamais prendre de précautions oratoires, ni même se donner la peine d’enquêter ne serait-ce qu’un p’tit chwiya, sans oublier les politiques qui adorent ce genre d’histoires où l’islam est mis en cause et pointé du doigt ! Il y en a qui doivent actuellement chercher à effacer leur tweet de soutien avec des doigts tremblotants…
Par contre, on aimerait maintenant savoir si ce n’est pas ce même Naoufal qui aurait tagué la maison de sa mère il y a un mois ? La question est légitime !
L’un des fils de Latifa Ibn Ziaten, la mère de la première victime de Mohamed Merah, affirmait avoir été agressé jeudi soir devant son domicile par trois hommes portant « des barbes d’islamistes ». Il aurait inventé cette histoire de toutes pièces pour couvrir une bagarre alcoolisée.
L’un des fils de Latifa Ibn Ziaten, la mère d’Imad, le premier soldat qui avait été assassiné le 11 mars 2012 à Toulouse par le terroriste Mohamed Merah, a été admis jeudi soir au CHU de Rouen avec un ami après avoir été agressé en début de soirée, selon ses dires, par trois hommes alors qu’il rentrait à son domicile près de Rouen. Mais selon nos confrères du Parisien, Naoufal Ibn Ziaten aurait inventé cette histoire d’agression pour couvrir une rixe sur fond d’alcool.
Naoufal Ibn Ziaten qui affirmait avoir été tabassé par trois hommes avec « des barbes d’islamistes » serait actuellement en garde à vue au commissariat de Rouen, où les policiers le suspectent d’avoir inventé de toutes pièces cette histoire. L’ami qui avait été lui aussi « agressé » et qui avait dû passer un scanner cérébral à l’hôpital de Rouen est lui aussi entendu par les enquêteurs.
« Après les menaces de mort au domicile de Latifa Ibn Ziaten, on s’attaque aux enfants. Un de ses fils agressé sauvagement ce soir à son domicile, transféré aux urgences du CHU de Rouen, avec un ami lui aussi laissé dans un état catastrophique. J’ai saisi ce soir le Procureur de Rouen », écrivait jeudi soir sur Twitter Maître Méhana Mouhou, l’avocat de Latifa Ibn Ziaten. Un message qu’il a supprimé de son compte ce samedi…