Donc, si on comprend bien, en France, on peut être tabassé au sol par plusieurs policiers au point de se retrouver avec une blessure ouverte et un hématome au crâne, tout en finissant la course devant la justice pour plainte posée par ces mêmes policiers, des faits de violences ! Nous marchons sur la tête, tout ceci va très mal finir car l’injustice est le sentiment le plus insupportable chez l’être humain comme toute personne sensée peut le comprendre aisément.
Bien sûr, pour faire la lumière sur cette affaire nous allons demander à la police d’enquêter sur elle-même comme le fera l’IGPN en toute « impartialité » bien entendu !
Tout le monde aura compris que la présidence Emmanuel Macron ne tient que par la violence des forces de l’ordre qui sont là pour terroriser le maximum de personnes et les dissuader d’agir. Macron n’a absolument plus aucune crédibilité politique, chaque déplacement d’un membre de son gouvernement nécessite le déplacement de centaines de CRS pour assurer leur protection ! C’est du jamais vu, c’est historique.
Dans l’attente de son procès, dont la date n’est pas encore connue, le parquet va requérir sa mise en liberté sous contrôle judiciaire.
Le manifestant frappé au sol par un policier Tout le monde aura compris que la présidence Emmanuel Macron ne tient que par la violence des forces de l’ordre qui sont là pour terroriser le maximum de personnes et les dissuader d’agir. Macron n’a absolument plus aucune crédibilité politique, chaque déplacement d’un membre de son gouvernement nécessite le déplacement de centaines de CRS pour leur protection ! C’est du jamais vu, c’est historique.samedi lors de la manifestation parisienne des Gilets jaunes sera jugé en février pour violences sur des policiers, un incident objet de versions contradictoires de la part des forces de l’ordre et des défenseurs de Clément, son seul élément d’identité connu.
Trois policiers ont d’ailleurs déposé plainte à son encontre ce lundi. L’homme a été déféré à l’issue de sa garde à vue. Il sera présenté dans l’après-midi à un magistrat du parquet qui va lui notifier une convocation devant le tribunal correctionnel du chef de violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, rébellion et participation à un groupement formé en vue de commettre des violences et des dégradations selon le parquet de Paris contacté par Le Parisien.
Dans l’attente de son procès, qui se tiendra « dans le courant du mois de février », il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à Paris et interdiction de détenir une arme, a précisé la source judiciaire.
« Nous déplorons cette différence de traitement entre les policiers et les manifestants »
Les avocats de Clément avaient dès ce lundi matin communiqué pour éviter un potentiel procès en comparution immédiate. « Clément a été placé en garde à vue puis déféré pour être jugé en urgence en comparution immédiate, alors que le policier qui l’a frappé, parfaitement identifié, n’a pas l’objet d’un tel traitement » objectaient ses conseils. Une comparution immédiate qui n’a toutefois pas eu lieu.
« Nous déplorons cette différence de traitement entre les policiers et les manifestants : aucun policier n’a jamais été jugé en comparution immédiate, contrairement à des milliers de manifestants. Nous demandons au parquet de Paris à ce que Clément soit remis en liberté au plus vite » précisait encore le communiqué.
« Il faut que la vérité soit faite sur cet acte »
De son côté, le préfet de police a lancé une enquête administrative afin…
Photo d’illustration : le manifestant frappé au sol sera jugé ultérieurement pour des violences sur les policiers – AFP
20 janvier 2020