Il faut rappeler que ce traître, membre de la secte des frères musulmans, a vendu 40 % du Sinaï au Hamas pour 8 milliards de dollars dans un accord secret avec Obama, sans jamais avoir consulté son peuple ! Il est évident que l’entité sioniste scélérate est derrière cette vente qui la débarrasserait de Gaza et de la Cisjordanie à bas prix… N’oublions pas que ces rats ont inondé les tunnels palestiniens pour rassurer leurs alliés sionistes ! Non seulement ils n’ont pas rompu le blocus de Gaza comme promis, mais ils ont montré leur vrai visage de soumission et d’intelligence avec l’ennemi ! Pourtant, d’aucuns continuent à nous vendre leurs fadaises sans rougir. Ceci est un exemple d’infiltration sabbataïste parmi les plus concrets et les plus efficaces. Que Dieu les maudisse incha Allah.
[citation source= » »][MAJ] C’est tout de même assez ahurissant de constater le niveau affligeant de certains internautes (il n’est pas question ici de leur vulgarité pathologique alors qu’ils s’affirment musulmans pratiquants !) qui n’arrivent pas à saisir que critiquer les trahisons multiples de Morsi ne fait pas de vous un sissiste, loin de là ! Ils s’abstiennent également de démentir les arguments solides et confirmés : vente du Sinaï, inondation des tunnels,… On pourrait ajouter bien des faits concrets de la trahison des frères musulmans, vu leur alliance avec le sabbataïste Erdogan dont l’armée s’entraîne régulièrement avec Tsahal et qui ne choque pas grand monde ! On évitera de parler du soutien des voyous du Qatar… Il existe, il est vrai, des cas complexes à appréhender mais d’autres situations sont très simples à juger puisqu’il s’agit d’intelligence avec l’ennemi. Ainsi lorsque certains naïfs exposent des photos de Morsi en train de faire la prière, doit-on leur rappeler que toute la racaille maçonnique au pouvoir dans les pays musulmans ne rate jamais les prières de l’Aïd, filmés au premier rang tout en servant fidèlement Paris, Londres ou Washington…
Être aussi benêt en 2015 est triste et laisse présager un futur sombre.
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Pour exemple, voici quelques criminels célèbres qui n’ont jamais raté les prières de l’Aïd ou qui ont même osé faire la Omra ou le Hajj :
Égypte : Morsi et une centaine d’autres accusés condamnés à mort

L’ex-président islamiste égyptien Mohamed Morsi, destitué par l’armée en 2013, a été condamné à mort samedi en première instance avec une centaine d’autres accusés pour des évasions de prison et des violences durant la révolte populaire de 2011 contre Hosni Moubarak.
Quelques heures après l’annonce du verdict, deux juges, un procureur et leur chauffeur ont été tués par balle dans le nord de la péninsule du Sinaï, dans la première attaque contre des magistrats dans cette région, théâtre d’attentats quasi-quotidiens visant l’armée et la police.
Parmi les dizaines de personnes ayant écopé de la peine capitale samedi, figure le guide suprême de la confrérie des Frères musulmans de M. Morsi, Mohamed Badie. Ces condamnations doivent encore recueillir l’avis, non contraignant, du mufti d’Égypte avant d’être confirmée ou infirmée le 2 juin.
Ces nouvelles peines capitales sont prononcées alors que le pouvoir du président Abdel Fattah al-Sissi, l’ex-chef de l’armée tombeur de M. Morsi, mène une répression sanglante contre les Frères musulmans, qui avaient remporté toutes les élections démocratiques après la chute de Hosni Moubarak.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a aussitôt dénoncé le verdict, y voyant un retour « à l’Égypte antique », tandis qu’Amnesty international a estimé que la peine de mort était devenue « l’outil de prédilection des autorités égyptiennes pour éliminer l’opposition politique ».
M. Morsi avait déjà été condamné à 20 ans de prison il y a trois semaines dans un premier procès pour des violences contre des manifestants durant sa mandature d’un an.
– Espionnage –
Le tribunal devait prononcer samedi des verdicts dans deux procès.
Le premier concernait M. Morsi et 128 co-accusés, dont des membres des Frères musulmans, du Hamas palestinien et du Hezbollah libanais, pour des évasions massives de prison et des attaques visant la police pendant la révolte de 2011.
Dans cette affaire, des dizaines ont été condamnés à mort, dont M. Morsi, Mohamed Badie et le prédicateur islamiste qatari Youssef al-Qardaoui. Ce dernier était jugé par contumace.
Le second procès était relatif à une affaire d’espionnage, entre 2005 et 2013, notamment au profit du Hamas, du Hezbollah et de l’Iran. Seize personnes ont été condamnées à mort, dont une femme. Ceux qui ont échappé à la peine capitale dans cette affaire, comme M. Morsi, connaîtront leur sort le 2 juin.
L’ex-président et 35 autres personnes étaient accusés d’avoir fourni « des rapports de sécurité » à l’Iran et répondaient également d’espionnage en faveur du Hamas et du Hezbollah « en vue de mener des attaques terroristes dans le pays pour y semer le chaos et renverser l’État ».
– ‘Diabolisation’ –
Fawzy Barhoum, un porte-parole du Hamas à Gaza, a vu dans ce verdict « la poursuite de la campagne de diabolisation » visant son mouvement, affirmant que plusieurs des accusés palestiniens étaient morts ou détenus dans les prisons israéliennes au moment des faits.
Sous la présidence Morsi, Le Caire avait resserré ses liens avec les islamistes du Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza voisine et affilié aux Frères musulmans. Depuis son éviction, le pouvoir égyptien accuse le mouvement palestinien d’avoir soutenu M. Morsi et d’avoir mené des attentats en Égypte.
Sur les 165 accusés au total jugés samedi, seuls 50 étaient présents dans le box des accusés, dont M. Morsi, qui comparaissait souriant dans une cage insonorisée.
M. Morsi avait été destitué et arrêté sur les ordres du général Sissi le 3 juillet 2013, après que des millions d’Égyptiens furent descendus dans la rue pour réclamer son départ, lui reprochant d’accaparer tous les pouvoirs au profit de sa confrérie islamiste et d’achever de ruiner une économie déjà au bord du gouffre.
Dans les mois qui ont suivi, policiers et soldats ont tué plus de 1.400 manifestants pro-Morsi et emprisonné plus de 15.000 Frères musulmans. Des centaines ont été condamnés à mort dans des procès de masse expéditifs et qualifiés par l’ONU de « sans précédent dans l’Histoire récente » du monde.
Si M. Sissi jouit d’une indéniable popularité auprès des Égyptiens qui sont lassés par quatre années de chaos après 2011, les organisations internationales de défense des droits de l’Homme accusent son régime d’être plus répressif que celui de M. Moubarak.
Mohamed Morsi doit encore être jugé dans deux autres procès, l’un pour « outrage à magistrat » et l’autre pour espionnage au profit du Qatar.