Les complotistes ne cessent de se lamenter sur les machinations criminelles à grande échelle de puissances financières occultes mondialistes, comme si ces gangsters enragés en col blanc étaient les meilleurs au noble jeu d’échecs. Certes, il y a complot, le millénaire complot de Satan-le-mondialiste contre l’humanité, mais la créature satanique n’est pas la meilleure aux échecs ; le Créateur joue mieux aux échecs que toutes les créatures réunies. Et il semblerait que le vent messianique de la rupture radicale avec la vermine mondialiste se soit enfin levé.
La conjonction de deux événements sismiques pourrait entraîner le changement tant redouté par les ennemis de l’humanité : le Brexit et la montée au pouvoir de l’états-unien aux cheveux orange, Donald Trump… Ce milliardaire contempteur intrépide de la tyrannie mondialiste qui a déclaré en décembre 2015 devant une concentration de juifs républicains ne pas vouloir de leur flouze, a effectivement déjoué tous les pronostics de la caste politico-médiatique repue de son arrogance et dégoulinante de mépris. Il se pourrait bien que cet iconoclaste atypique débordant de vulgarité soit le fou qui mettra en échec le roi-Satan de la partie adverse. C’est tellement vrai que jeudi 28 avril 2016, lors d’une conférence à Stanford, l’ancien président de la Chambre des représentants, John Boehner, a dit de l’ultra-sioniste Ted Cruz, le dernier et plus acharné opposant à Trump, qu’il est “Lucifer en chair et en os” !!! (information rapportée par Le Monde du 29 avril). La presse américaine nous révèle encore en guise de confirmation que Ted Cruz-le-puritain-rigoriste s’envoie régulièrement des putes de luxe. C’est du joli.
Nous sommes arrivés à un moment crucial de cette partie d’échecs apocalyptique où la divine tactique va se concrétiser. Par le biais de deux pièces maîtresses : la tour et le fou ; la tour-Brexit de Londres et le fou-nationaliste Trump, certes vulgaire, très vulgaire. La partie adverse a beau avancer furieusement son cavalier-Obama pour menacer les brexiteurs en tête des sondages avant de s’en prendre à Trump, et déplacer son fou-Woody-Allen (pour la promotion de son dernier miasme cinématographique, Café Society) afin de soutenir Hilarystérique contre l’irrésistible ascension de Donald, rien n’y fait. Le vent a tourné. Les analystes stipendiés n’y comprennent plus rien. Ils s’arrachent les cheveux devant les statistiques, se bouffent leurs ongles de doigts de pieds aux derniers cartons du rouleau-compresseur orange, refont leur calculs dans tous les sens pour sauver la vulgate mondialiste à l’agonie, sans parvenir à saisir le paramètre manquant… : l’insondable Providence divine. Les complotistes vont me dire que l’homme aux cheveux orange n’a pas l’allure d’un homme providentiel. Qu’il est fanfaron, raciste, islamophobe, suprématiste… Oui, mais les voies du Seigneur sont parfois impénétrables.
Le Brexit, quant à lui, ne peut pas ne pas l’emporter : plus la mafia mondialiste traitera les brexiteurs de cons irresponsables, de nationalistes idiots ou de crypto-fascistes haineux, plus ils se rebifferont contre cette vermine en putréfaction (aux dernières nouvelles, le “Oui” au Brexit gagne du terrain parmi les chefs d’entreprise britanniques). Et plus la Grèce s’enfoncera dans l’irréversible (c’est ce que laissent augurer les dernières manifestations à Athènes), plus elle donnera raison au Brexit. Sans parler du prochain carnage à Gaza par l’armée la plus morale du monde, qui recevra évidemment le soutien inconditionnel de Cameron, l’anti-Brexit en chef et en hébreu, et qui renforcera donc la mouvance pro-Brexit. Pour ne pas perdre cette partie d’échecs, la vermine est bien-sûr capable de renverser la table en déclenchant une guerre mondiale… la dernière. Mais Poutine semble bien décidé à ne pas entrer dans cette guerre où la vermine le pousse depuis toujours, et tout particulièrement depuis l’Ukraine.
L’arnaque européenne touchera à sa fin avec la victoire du Brexit, et le rêve maudit d’une monnaie unique mondiale s’effondrera avec l’isolationnisme assumé de l’homme orange, qui prône un redressement national, et qui pour cela se fait traiter d’antisémite par l’ADL, une officine ultra-sioniste américaine qui voit de l’antisémitisme partout, au pays de l’oncle Sam. Les répercussions de ces deux événements sismiques seront planétaires. Même en Palestine occupée, le joug sioniste sera ébranlé. Des États comme la Saoudie ou Israël ne pourront plus bénéficier des largesses incalculables des États-Unis, qui plongent ce pays dans la faillite. L’Allemagne qui s’est déjà préparée au Brexit ne tardera pas à sortir elle-aussi de l’arnaque européenne et du chantage sioniste en retrouvant sa souveraineté (la grande baffe dans la gueule de Netanyahu administrée par le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, en est un signe précurseur). Et le rapprochement durable des États-Unis et de la Russie, souhaité par Trump, désormais seul en course pour l’investiture républicaine, provoquera la décomposition de l’OTAN, également souhaitée par Trump. Mais le signe précurseur le plus terrifiant est sans aucun doute le départ de Yann Barthès du Petit-Journal…, merde, c’est vraiment l’Apocalypse !