Cette vidéo met en avant, avec preuves et arguments à l’appui, les inepties ayant caractérisé la gestion de la crise sanitaire en Suisse ainsi que les travaux du Sommet GAVI 2020 autour de la vaccination. C’est ainsi que Daniel Koch, « Monsieur Covid-19 » de la Confédération suisse a fait une déclaration ahurissante en expliquant que la fermeture des écoles en Suisse n’obéissait pas à des impératifs épidémiologiques mais à des considérations pédagogiques, autrement dit pour faire comprendre à la population la gravité de la situation. Une telle sortie se passe de tout commentaire.
Ema Krusi relève que des fonds importants ont été levés pour assurer le programme de vaccinations mais elle observe à juste titre que l’épidémie est à présent quasiment éteinte. Par ailleurs, elle s’offusque que les Africains soient traités comme des souris de laboratoires et rappelle qu’en réalité, tout tourne autour du problème de l’hygiène générale, sachant que près de 3 milliards de personnes n’ont pas d’installation de base d’eau. Pour se rendre compte de la gravité de cette situation, Ema rappelle la définition donnée par l’OMS à une installation de base d’eau : il s’agit d’un point d’eau courante situé à moins de 30 minutes de marche. Cela signifie que près de 3 milliards d’individus sont obligés de parcourir une distance de 2 kilomètres pour se laver les mains. Sans compter qu’il n’existe pas de réseaux d’assainissement des eaux usées, ce qui explique que 25 000 enfants meurent chaque mois de déshydratation causée par les diarrhées.
C’est donc là qu’il faut agir en priorité pour faire reculer la mortalité et non pas en proposant des vaccins coûteux obéissant à une logique mercantile, pour se prémunir d’une maladie qui est déjà en voie d’extinction totale. Quant aux autres maladies comme la poliomyélite, tout le monde sait que si elle a reculé dans certaines contrées c’est grâce à une hygiène stricte et à la fourniture d’une eau potable, ce qui devrait être fait en Afrique. Sinon, ce serait mettre la charrue avant les bœufs. Elle rappelle aussi en exhibant une courbe très explicite qu’en ce qui concerne la rougeole, la mortalité de cette maladie contagieuse était déjà négligeable dès 1962 ( ayant diminué de plus de 98 % par rapport au début du XXe siècle), soit une année avant l’introduction du premier vaccin en 1963.
Ema Krusi a opportunément rappelé qu’elle n’était pas foncièrement “antivax” mais anti-métaux lourds – une nuance de taille -, faisant allusion aux excipients et autres adjuvants ajoutés aux vaccins (mercure et aluminium).
https://www.youtube.com/watch?v=VrOqnmoyuhI&feature=emb_title
Publiée le 6 juin 2020
Les mensonges de nos gouvernants sur les plateaux TV, le sommet GAVI 2020.