« Quelle dose de vérité un esprit peut-il supporter, peut-il risquer, tel est le seul critère des valeurs », disait Nietzsche. Imaginez un instant que l’État profond, qui décide en coulisse des grandes directives de santé publique et de politique de l’enfance, fasse depuis longtemps et régulièrement des sacrifices d’enfants à Satan après les avoir violés et torturés…, imaginez seulement que cela soit vrai, que cette vérité éclate au grand jour…, pourriez-vous alors accepter cette dose de vérité ? Ou bien, mourriez-vous de cette vérité ?
« L’art nous est donné pour nous empêcher de mourir de la vérité », disait encore Nietzsche. Le problème est qu’aujourd’hui l’art est mort, la quête du beau est morte. Du coup, du fait de cette absence du beau nous pourrions mourir d’une vérité insupportable, et la vérité qui arrive sera insupportable, et c’est un euphémisme. Il s’agit donc de sauver le beau, ou plutôt de le retrouver, et de le restaurer. Au fond, qu’est-ce que le beau ? C’est l’expression d’un idéal auquel on sacrifie sa vie, sa fierté, son orgueil. Créer du beau consiste à esthétiser un idéal, c’est-à-dire à le rendre sensible. Le problème est qu’il n’y a plus d’idéal. Il n’y a plus que des dogmes misérables, nuisibles, nocifs, destructeurs… Voilà ce que vise l’ultra-bestialité de l’État profond : tuer tout idéal, excepté l’idéal du chaos démocratiquement chaotique. Tuer l’État profond : voilà le dernier idéal, la dernière croisade, l’idéal de la liberté œuvrant pour l’harmonie véritable. Car il y a aussi évidemment l’harmonie mensongère d’une sécurité sanitaire encore plus mensongère promue par des esclaves baratinant sur la liberté. Rachel Khan, par exemple, qui affirmait récemment sur la chaîne LCI que « la liberté de vivre c’est celle de se faire vacciner »…, et si la vaccination devient obligatoire cette esclave ontologiquement esclave affirmera que la liberté de vivre c’est celle d’être obligé de se faire vacciner avec un flingue sur la tempe ; mille ans enchaînée sur une plantation de coton ne lui ouvriraient pas les yeux sur sa condition d’esclave ontologique.
Ces gens-là ne se sentent bien que si et seulement si ils sont esclaves, enchaînés, asservis de mille manières dans une matrice infernale. Leur âme d’esclave leur fait haïr absolument toute velléité de liberté. « La servitude ou la mort », hurlent-ils fièrement en menaçant de toute leur rage les hommes et les femmes voulant rester libres. Pour eux, l’esclavage absolu est justifié pour la sécurité absolue, qui elle-même est la condition absolue pour le bonheur absolu, sans douter un instant de l’efficacité de ce vaccin expérimental, qui pourtant se révèle jour après jour, dose après dose, terriblement nocif, voire létal et donc pas du tout sécuritaire. Ces auto-camisolés forclusionnels ne sont pas devenus esclaves, ils sont nés esclaves. N’importe quel chien comprend mieux la liberté que tous ces esclaves sanitaires volontaires réunis. Ça reste entre nous, mais les chiens, les chats et les chevaux seront bientôt les seuls à pouvoir nous enseigner la liberté, la beauté et la noblesse. Ne le répétez pas trop fort, l’État profond-dément bestial serait capable d’exterminer ces merveilleux êtres innocents. Quand le ressentiment se détraque on obtient la haine, quand la haine se détraque on obtient un monstre, quand le monstre se détraque on obtient quelque chose d’indescriptible et d’incompréhensible, et quand l’indescriptible et l’incompréhensible se détraquent on obtient… le covidiste. Mais attendez, ce n’est pas fini, quand le covidiste se détraque on obtient Rachel Khan.
Il y a quelque chose de plus haut que l’idéal de justice et de vérité, c’est l’idéal de beauté. La beauté est ce qui permet de nous rappeler qu’il y a une harmonie véritable possible au bout de la liberté, et la laideur permet de nous le faire oublier. La beauté est le signe sublime de l’accomplissement possible de la liberté, voilà pourquoi les forces démoniaques qui dirigent ce monde s’acharnent à détruire et à souiller toute beauté, toute candeur, toute innocence, et à promouvoir avec autant d’acharnement la laideur, l’extrême laideur. Promouvoir le plus ignoblement servile pour en faire un parangon de liberté, telle est la mission sans contrefaçon de cet horrible succube déglingué de Rachel Khan, qui nous rappelle à quel point la hyène est un animal charmant.
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