Tiens tiens tiens, voici une condamnation judiciaire qui contredit toute la propagande politique servile de Big Pharma qui consistait à nier catégoriquement l’existence de liens de causalité entre la vaccination contre l’hépatite B et l’apparition de troubles physiques graves comme la sclérose en plaques par exemple. Rappelons que cette secrétaire médicale qui n’a aucune chance d’entrer en contact avec le sang des malades et donc de contracter l’hépatite, a été vaccinée pour rien. Dès 1997, Madame Sylvie Simon et le Docteur Marc Vercoutère avaient publié un livre, Vaccin anti-hépatite B : Les coulisses d’un scandale, afin de dénoncer le scandale autour de l’obligation vaccinale contre cette maladie, en vain.
Mais ce qui est révoltant dans cette affaire c’est que la réparation du préjudice est à la charge de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ou Oniam), c’est-à-dire le contribuable et non pas Big Pharma et le laboratoire responsable aux yeux de la loi.
Cette décision reste néanmoins une excellente nouvelle puisqu’elle établit définitivement le lien de causalité entre la vaccination et l’atteinte de la victime par la myofasciite à macrophages. Ainsi, lorsque des laquais de Big Pharma oseront affirmer le contraire à la télé ou dans la presse en général, cette condamnation ainsi que celle du conseil d’État seront utiles pour les contrer définitivement.
Âgée de 64 ans, la patiente a été soumise à une vaccination obligatoire contre l’hépatite B. Elle a présenté par la suite des troubles physiques…
L’État a été condamné par la cour administrative d’appel de Nantes à verser plus de 190.000 euros à une secrétaire médicale qui a présenté des troubles physiques à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B, une obligation du code de la santé publique, selon l’arrêt que s’est procuré mardi l’AFP.
La secrétaire médicale, âgée de 64 ans, a été soumise à une vaccination obligatoire contre l’hépatite B en mai 1994 avec trois rappels. Elle a présenté, à partir du mois de juillet 1994, des troubles physiques, notamment des douleurs musculaires et une fatigue généralisée.
« Réparation au titre de la solidarité nationale »
Le tribunal administratif d’appel de Nantes a imposé « la somme mise définitivement à la charge de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (Oniam) au profit de Mme L. (…) fixée à 190.751,19 euros», selon la décision rendue vendredi. L’Oniam devra verser également 1.500 euros de frais de justice.
Lors de procédures antérieures, le Conseil d’État avait estimé en mai 2016 que «le lien de causalité entre la vaccination contre l’hépatite B subie par Mme L. dans le cadre de l’obligation vaccinale liée à son activité professionnelle et la myofasciite à macrophages dont elle souffre doit être regardé comme établi et de nature à […]
20 minutes / AFP