Cette information ne peut pas choquer la personne initiée aux réalités de ce monde. Avant toute chose, toute critique de l’Ukraine ne signifie en aucun cas un soutien inconditionnel à la Russie. C’est pourtant ce que fait le président ukrainien Zelensky en se victimisant toujours plus et en accusant Amnesty International de tous les maux. Deuxièmement, nous savons qui dirige l’Ukraine depuis des décennies : la mafia, des oligarques véreux, des voyous qui ont transformé ce pays en première plate-forme mondiale de traite d’êtres humains, de pédocriminalité… Nous savons également que l’armée régulière ukrainienne inclus dans ses rangs des nazis totalement assumés et complètement cinglés ! En d’autres termes, rien de choquant lorsque l’on connaît la situation, lorsqu’on a une idée précise sur les protagonistes de cette guerre.
“Dans 22 des 29 écoles qu’ils ont visitées, les chercheurs d’Amnesty International ont constaté que des soldats utilisaient ces bâtiments ou y ont trouvé des éléments prouvant une activité militaire passée ou présente – notamment des treillis militaires, des munitions abandonnées, des sachets de rations militaires et des véhicules militaires.”
En réalité cette stratégie de mise en place de bases militaires dans des zones résidentielles est une ruse militaire extrêmement efficace puisque toute riposte de l’armée russe fera croire à une bavure car des tirs de missiles venant d’une école vont essuyer très rapidement une riposte qui donnera de très belles images pour la propagande ukrainienne qui s’empressera de traiter l’attaque comme un acte de terrorisme. C’est peut-être une stratégie militaire payante au niveau de la propagande, par contre elle met en danger de mort des civils qui de surcroît n’ont pas été appelés à quitter les zones de combat selon Amnesty International. Pendant ce temps, le couple présidentiel ukrainien réalise des photographies de mode dans le magazine Vogue…
- Des bases militaires sont installées dans des zones résidentielles, notamment dans des écoles et des hôpitaux.
- Des attaques sont lancées depuis des secteurs habités par des civiles.
Lancer des attaques depuis des zones peuplées ou établir des bases militaires dans des écoles et des hôpitaux sont des tactiques qui violent le droit international humanitaire, avertit l’ONG Amnesty International ce jeudi dans un communiqué.
« Nous avons documenté une tendance des forces ukrainiennes à mettre en danger les civils et à violer les lois de la guerre lorsqu’elles opèrent dans des zones peuplées », a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International. « Le fait de se trouver dans une position de défense ne dispense pas l’armée ukrainienne de respecter le droit international humanitaire », a-t-elle ajouté.
Face à ces accusations de mise en danger des civils, l’Ukraine s’est dite « indignée par les propos « injustes » d’Amnesty.
Entre avril et juillet, des chercheurs d’Amnesty International ont enquêté sur les frappes russes dans les régions de Kharkiv (est), du Donbass et de Mykolaïv (sud-est), inspectant les sites touchés par des frappes et interrogeant des rescapés, des témoins et des proches de victimes. Selon l’ONG, ces chercheurs ont trouvé des preuves que les forces ukrainiennes lançaient des frappes à partir de zones résidentielles peuplées et avaient établi des bases dans des bâtiments civils dans 19 villes et villages de ces régions.
La plupart des zones résidentielles où se trouvaient les soldats étaient situées à des kilomètres des lignes de front, note Amnesty, soulignant que d’autres options qui n’auraient pas mis en danger les civils, comme des bases militaires ou des zones densément boisées à proximité, étaient possibles. L’ONG indique qu’à sa connaissance, les soldats qui se sont installés dans ces zones d’habitation n’ont pas demandé aux civils d’évacuer.
Photo d’illustration : « Nous avons documenté une tendance des forces ukrainiennes à mettre en danger les civils et à violer les lois de la guerre lorsqu’elles opèrent dans des zones peuplées », a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.
AFP
4 août 2022