Voici encore une commande de plusieurs dizaines de millions d’euros réalisée par l’incompétent et dangereux Olivier Véran présenté lors de sa dernière conférence de presse comme un grand espoir contre le Covid-19 et qui s’avère encore une fois un flop de Big Pharma ! Faut-il rappeler que le chiffre de 30 % est communiqué par le laboratoire voyou Merck qui a déjà été condamné à de très nombreuses reprises pour fraude, falsification de données cliniques… Il faut être complètement stupide, décérébré ou tout simplement corrompu par l’argent du laboratoire pour le croire.
Nous sommes à la veille du mois de décembre 2021, en France, à l’hôpital public, les médecins soignent toujours le Covid-19 avec du paracétamol puisque l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont interdits !
Il sera utilisé dès le mois de décembre en France, où des commandes visant à traiter 50 000 patients ont été effectuées.
Le Molnupiravir, vendu sous forme de gélule par le laboratoire Merck, est exploité pour limiter le risque de forme grave chez les patients infectés par le Covid-19. Mais les données finales, communiquées ce vendredi par le laboratoire, sont plutôt décevantes.
Selon cette étude, 48 des 709 malades ayant reçu le traitement et 78 des 699 patients inclus dans le groupe placebo ont été hospitalisés ou sont décédés après avoir infecté. Le risque est donc réduit de 30 % en cas de prise du médicament. Pourtant, les résultats d’une analyse intermédiaire (sur un échantillon deux fois moins important), publiés le 1er octobre, aboutissaient à une efficacité de 48 %.
« 30 %, c’est mieux que rien, mais c’est décevant. Et on ne peut pas exclure que, dans la vraie vie, ce produit soit encore moins efficace ! », réagit Mahmoud Zureik, professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et directeur du groupement Epi-Phare.
Décision de l’EMA attendue d’ici « quelques semaines »
Un autre élément est cependant plutôt rassurant. De nouveau, la fréquence des effets indésirables n’a pas été plus importante dans un groupe que dans l’autre.
Pour rappel, le Molnupiravir est un antiviral qui diminue la capacité du SARS-CoV-2 à se multiplier en « perturbant » son matériel génétique. Commercialisé sous le nom de Lagevrio, il peut déjà être utilisé par les pays européens qui le souhaitent en cas de forte vague épidémique, comme c’est aujourd’hui le cas. L’Agence européenne des médicaments (EMA) a indiqué ce mardi qu’elle rendrait sa décision finale d’ici « quelques semaines » concernant sa mise sur le marché de l’Union européenne. Aux États-Unis, il coûte environ 600 dollars par malade à traiter, à raison de deux doses par jour pendant cinq jours.
Photo d’illustration : Le Molnupiravir devrait être commercialisé à partir de début décembre en France. REUTERS
Nicolas Berrod
26 novembre 2021