Ce qui se passe à Lampedusa est ahurissant, inouï, complètement fou ! Les adversaires du parti Fratelli de Meloni voudraient la flinguer politiquement qu’ils ne s’y prendraient pas autrement… Ou alors, Meloni est compromise et complice jusqu’à l’os de cette phénoménale folie pour faire avancer l’agenda de l’hyène permanentée. Ou alors, c’est une infernale traîtresse qui a berné tout le monde. Bref. Passé la sidération, il faut essayer d’identifier les causes de cette folie furieuse migratoire pour éventuellement les détruire, et mettre ainsi un terme à cette folie, qui détruit les nations, les peuples, les cultures, au Nord comme au Sud, pour y substituer une matrice globale satanique.
Les responsables immédiats du profond désœuvrement et de la profonde misère des populations africaines qui les poussent à traverser la Méditerranée sont bien entendu les chefs d’État africains aussi profondément corrompus que leur peuple est profondément misérable, chefs d’État complices des trafiquants et autres passeurs qui font passer ces migrants économiques pour des réfugiés politiques ou des réfugiés de guerre, sous le financement de Soros and Co. Évidemment, vous allez me dire qu’il n’y a pas de corrompu sans corrupteur. Il n’en reste pas moins que la culpabilité pèse plus lourd sur le corrompu que sur le corrupteur. Vous allez me dire aussi que si on extermine les corrupteurs, il n’y aura plus de corrompus. P’têt bin qu’oui, p’têt bin qu’non. L’homme est faillible par nature, il peut avoir de mauvais penchants, et y céder ou pas. Du coup, si l’homme ne s’applique pas à une direction morale, il peut céder à ses mauvais penchants, jusqu’à la perdition… Le responsable numéro 1 est donc l’absence de direction morale. Vous allez me dire encore qu’il y a une engeance démoniaque qui s’acharne à détruire toute direction morale qui pourrait guider l’humanité, et qu’en éradiquant cette engeance… Oui, c’est vrai, et c’est précisément le sabre de la direction morale qui pourrait trancher la tête de cette engeance maléfique.
Cette engeance maudite est une engeance d’esprit, d’esprit bestial, mais d’esprit quand même. Autrement dit, vous pouvez couper la tête de l’hyper-putain permanentée qui sévit à Bruxelles, cette démoniaque engeance n’en sera pas stoppée pour autant. La solution idéale serait de sacrifier notre vie, notre vie sociale, pour le triomphe d’un idéal moral, comme certains soignants ont sacrifié leur vie sociale pour leur intégrité morale. Certains soignants, certains pompiers et bien d’autres encore ont sacrifié leur vie sociale pour que triomphe l’idéal moral de liberté. Julian Assange a beaucoup sacrifié pour le triomphe de la vérité, et bien d’autres encore, connus ou anonymes. Certains y ont même laissé leur vie. Il ne s’agit pas de « mourir pour des idées n’ayant plus cours le lendemain », comme le dénonçait Brassens. Mais de mourir pour un idéal, un idéal millénaire, un idéal moral éternel. Que sommes-nous prêts à sacrifier pour nous débarrasser de cette engeance diabolique ?… À défaut d’un tel sacrifice, la matrice implacable se refermera sur le bétail humain, devenu bétail par manque de courage au sacrifice. Écouter Brassens jusqu’à la mort n’y changera rien.
L’art, le grand art du sacrifice consiste en un sacrifice spirituel, sacrifice de nos certitudes narcissiques, de nos attachements égoïstes, de nos fiertés périssables, de notre orgueil, de notre image, de l’importance que l’on se donne et qu’on aimerait que les autres nous donnent… Nous avons tant à sacrifier !… Des montagnes d’illusions à sacrifier. Des montagnes qui nous empêchent d’y voir clair, d’y voir loin, de marcher droit, de ne pas tomber… Quel feu majestueux et sublime nous convaincra d’y jeter en sacrifice nos montagnes d’ignorance ?… Un feu éternel enfoui sous nos montagnes de détritus intérieurs, et masqué encore par les écrans dont l’anarchie des simulacres au goût truqué de liberté nous trompe et nous tue. L’idéal anarchiste a fait long feu finalement. L’anarchiste ne veut rien sacrifier de lui, et ne voulant rien sacrifier, il engraisse et n’y voit plus clair. Mourir pour l’anarchie, c’est bien beau, mais laquelle ? Celle qui refuse l’autorité, mais laquelle ? Toutes ? L’anarchiste ne peut pas refuser au moins une autorité : l’autorité de la mort. L’anarchisme est une arnaque. Demandons-nous seulement s’il n’y a pas une autorité positive derrière l’autorité négative de la mort ; autorité positive qui trace justement la bonne direction morale, à laquelle nous devrions tout sacrifier. Non ? De toute façon, c’est très simple, si vous dites non à cette autorité positive, vous tomberez sous les coups de ladite autorité négative savamment manipulée par cette engeance démoniaque qui vous annihilera par un « Non » bien plus féroce que votre « non ». Écouter Brassens ne sera même plus une consolation. Et auprès de votre arbre, vous ne vivrez pas heureux, puisqu’il n’y aura plus d’arbre, rapport au méchant carbone. Aux dernières nouvelles, Bill Gates avec Kodama Systems veut enterrer des forêts pour sauver le climat et sauver la planète ! Ce ne sont pas les forêts qu’il faut enterrer…
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