Le franc-maçon Gérard Collomb fait beaucoup de lapsus et celui-ci est un de ses plus beaux.Il faut dire que ces gens savent très bien que toutes ces lois antiterroristes nous font véritablement sortir de l’État de droit comme l’ont démontré de nombreux magistrats qui comprennent parfaitement où nous mènent ces nouvelles lois liberticides qui de surcroît ne régleront jamais le problème du terrorisme. Terrorisme souvent instrumentalisé par les services de l’État comme prouvé mainte fois. D’autant que tout le monde sait que ces lois ne sont pas du tout provisoires puisqu’elles sont inscrites désormais dans le corpus classique et ne sont plus du tout appliquées dans le cadre spécifique et temporaire de l’état d’urgence. Merci à la franc-maçonnerie pour ce nouveau cadeau empoisonné qui est censé bien sûr nous protéger de la menace terroriste…
Défendant son texte antiterroriste et la sortie de l’état d’urgence, le ministre de l’Intérieur a évoqué devant les députés une “sortie de l’état de droit”…
Si le projet de loi antiterrorisme est loin de faire l’unanimité, Gérard Collomb a au moins réussi à faire sourire tous les députés. Mardi soir, à l’heure d’introduire devant la Commission des Lois de l’Assemblée nationale son étude sur ce texte, le ministre de l’Intérieur a commis un joli lapsus qui n’est pas passé inaperçu.
Gérard Collomb voulait parler de “la fin de l’état d’urgence”, une question en effet lancinante depuis son lancement “temporaire” le 13 novembre 2015, et sa prolongation à de multiples reprises depuis. Mais la langue du ministre a fourché, et il a parlé de “la sortie de l’état de droit”. Un moment croustillant qui a été isolé en vidéo :
Le ministre de l’Intérieur n’en est pas à son premier lapsus. Avant le débat d’entre-deux tours de l’élection présidentielle, le soutien de la première heure d’Emmanuel Macron expliquait sur LCI, il louait le sens patriotique de “Emmanuel Le Pen”. Une formule qu’il a même répétée par la suite. Quand ça veut pas… […]
L’Express