Comme vous allez pouvoir le constater dans les différentes vidéos capturées ci-dessous lors de cette commission d’enquête sénatoriale australienne, les responsables de Pfizer et Moderna sont en panique totale. Ils sont incapables de répondre à des questions simples posées par des sénateurs. Ils démontrent ainsi à quel point cette crise sanitaire n’a été que mensonges, propagande et manipulations.
Le sénateur australien Alex Antic interroge les responsables de Moderna en visio : “Selon un rapport, nous observons 1 effet indésirable grave pour 800 injections. Acceptez vous ce taux sinon quelles sont les données de vos propres essais cliniques ?” Ses interlocuteurs refuseront de donner une réponse claire à cette question pourtant simple en affirmant qu’ils n’ont pas les chiffres. Face à cette impossibilité d’obtenir une réponse, le sénateur rappelle qu’ils sont une entreprise multinationale qui a engrangé des dizaines de milliards de dollars et qu’ils ne peuvent pas ignorer ces articles scientifiques ou ne pas connaître les chiffres de leurs propres études cliniques. En réalité, la situation est beaucoup plus grave puisque certains patients, notamment ceux qui ont reçu plusieurs boosters, ont des taux de péricardites et de myocardites extrêmement élevés, un patient sur 35 et non 1/800 !
Vous pouvez, par exemple, voir ci-dessous le responsable de Moderna expliquer à une sénatrice australienne que personne n’a été obligé de se faire injecter de l’ARN messager en Australie alors qu’elle lui rappelle gentiment que tous les professionnels de santé et les travailleurs ont été forcés à accepter l’injection au risque de perdre leur travail ! En d’autres termes, ce responsable est en train de mentir effrontément au Sénat et d’insulter toute la population australienne en affirmant que ce qu’elle a vécu était totalement faux : non, personne n’a été forcé à se faire injecter ! Passage extraordinairement orwellien.
Concernant Pfizer, nous avons pu collecter 2 perles extraordinaires lors des déclarations des responsables de la plus grande firme criminelle de Big Pharma. La première concerne le mode d’action des injections sur l’effet indésirable le plus connu, les atteintes cardiaques de type myocardites et péricardites. Comme vous pourrez le constater dans la vidéo ci-dessous, ces autorités officielles de Pfizer ont été incapables de répondre au sénateur Gerard Rennick et d’expliquer le mode d’apparition de ces atteintes cardiaques. En d’autres termes, elles n’ont même pas été étudiées, ni avant et encore moins après ! Comment est-ce possible ?
Le meilleur pour la fin. Nous apprenons, grâce à cette commission d’enquête, que les salariés de Pfizer en Australie ont été vaccinés avec un lot spécial qui n’est pas celui utilisé sur la population générale ! Rien de tel pour jeter encore plus d’huile sur le feu, pour donner raison à tous ceux qui ont alerté concernant ces criminels, ces menteurs, ces corrompus de Big Pharma. Il est extrêmement choquant de voir ces médecins et ces experts de Pfizer éviter de répondre à une question simple en répétant mécaniquement que les injections sont sûres car des milliards de personnes ont été injectées dans le monde bla bla bla… On a l’impression d’avoir affaire à des corps sans âmes.
Ceux que l’on nous a présentés comme des génies de la science et de la technologie, qui ont inventé en peu de temps un remède miraculeux contre une maladie qui allait terrasser l’humanité entière, ne sont rien d’autre que des pitres pathétiques, des êtres méprisables corrompus et d’une profonde incompétence.
On aimerait beaucoup écouter maintenant le débunkage de Julien Pain et de toute la clique NoFakeMed, zététiciens et autres gogols du Net.