On ne sait pas trop à quoi joue le Canard enchaîné car sortir ces nombreux dossiers accablants à 3 mois de la présidentielle, alors qu’ils connaissent tous sa situation depuis 30 ans, discrédite complètement ce journal du mercredi !!! Cet acharnement donnerait presque envie de voter Fillon et de le soutenir tant il est grossier ! Pour qui roulent-ils ?
Dans son édition à paraître mercredi, Le Canard enchaîné révèle que Penelope Fillon a touché au total 45.000 euros d’indemnités de licenciement de la part de l’Assemblée nationale.
Les révélations se poursuivent, dans l’affaire Penelope Fillon. Dans son édition à paraître ce mercredi, Le Canard enchaîné révèle que la femme de François Fillon a touché 45.000 euros d’indemnités de licenciement de la part de l’Assemblée nationale.
“Les flics n’ont trouvé aucun indice matériel du travail de Penelope, mais la trace de ses indemnités de licenciement”, écrit le journal sur son compte Twitter et sur sa une au titre mordant: “Une preuve de plus que Fillon sait encaisser!”.
Ce montant pourrait faire augmenter la facture totale de l’argent touché par Penelope Fillon en tant qu’attachée parlementaire. Et l’information intervient alors que l’avocat de François Fillon estime que l’enquête du parquet financier sur les soupçons d’emploi fictif contient des “irrégularités”.
D’après l’hebdomadaire, Penelope Fillon a perçu en août 2002 “16.000 euros d’indemnités, soit l’équivalent de cinq mois de salaire”, alors qu’elle avait retrouvé un mois plus tôt un emploi auprès du suppléant de François Fillon, Marc Joulaud. “Elle va cumuler deux salaires durant un peu plus d’un mois. Bien plus efficace que Pôle emploi!”, ironise le journal. “A l’époque, la législation ne prévoit pas un tel niveau d’indemnités de licenciement pour un collaborateur parlementaire”, affirme encore Le Canard.
Ces indemnités portent sur la période 1998-2002, pendant laquelle Penelope Fillon a été rémunérée comme assistante parlementaire de son époux (165.686 euros net de salaires sur cette période, selon le site internet du candidat Fillon). Par ailleurs, en novembre 2013, quand son époux a mis fin à son dernier contrat à l’Assemblée, Penelope Fillon aurait touché d’après l’hebdomadaire “29.000 euros” d’indemnités de licenciement pour 17 mois de travail (rémunérés 65.839 euros net, selon le site internet de François Fillon).