Non seulement les journalistes parisiens vivent dans un monde parallèle, un Metavers, mais de surcroît, ce dernier a 3 ans de décalage temporel avec le monde réel. Ces journalistes incompétents, de complément d’enquête du service public France 2, ne nous apprennent absolument rien puisque tout cela est connu des citoyens éveillés et initiés aux magouilles de Big Pharma depuis le début de la crise sanitaire Covid-19. Ils viennent donc nous expliquer que Pfizer est un laboratoire corrompu, condamné à de multiples reprises par la justice. Qu’ Ursula von der Leyen a essayé très maladroitement de cacher les SMS échangés avec le patron de Pfizer lors de la négociation du contrat ! Que ce contrat contient des clauses de protection, car les injections ont été commercialisées sans aucun test sérieux de toxicité, de cancérogénicité…, afin de protéger le laboratoire d’éventuelles poursuites contre de futurs effets indésirables qui, bien entendu, n’existent pas puisque Alain Fisher, le très incompétent monsieur vaccin français, l’affirmait il y a 2 ans en traitant tous ceux qui disaient l’inverse, de méchants « complotistes »…
Ces journalistes ridicules devraient avoir honte d’être aussi nullissimes, aussi mauvais et aussi lâches. C’est d’autant plus insupportable qu’ils s’évertuent à affirmer que toutes ces magouilles ne font qu’augmenter la défiance des fameux « complotistes » alors que ce sont bien ces derniers qui avaient raison sur toute la ligne depuis le début de cette fausse pandémie, alors qu’eux-mêmes étaient totalement largués et servaient la soupe de la Doxa à longueur de journée.
Regarder l’émission en replay : https://www.france.tv/france-2/comple…
Plus riche, plus influent que ses concurrents, Pfizer s’est imposé comme le labo numéro un grâce à son vaccin contre le covid-19. Mais aujourd’hui, l’image de la multinationale américaine s’est brouillée. Au temps de l’espérance a succédé celui de la défiance. De « sauveur du monde », le laboratoire serait maintenant perçu comme un « profiteur de crise » par ses nombreux détracteurs. Manque de transparence sur les contrats, mystérieux SMS échangés entre la présidente de la Commission Européenne et le patron de Pfizer, soupçon d’optimisation fiscale, peur des effets secondaires : de Paris à Washington en passant par Bruxelles, les critiques pleuvent contre le géant pharmaceutique, ses dirigeants et leurs méthodes commerciales.
Alors faut-il avoir peur du « grand méchant labo » qui met en ébullition la sphère complotiste ?