Pauvre petite ! Il faudrait déjà que le gouvernement se mette d’accord sur la version à donner : accident domestique, malaise à cause de la pression… Il faut tout de même rappeler que c’est cette dame, ne sachant pas combien de fois un CDD pouvait être renouvelé, qui s’est attaquée au code du travail ! La bonne blague ! Est-ce un hasard si toutes les catastrophes sociologiques ont été réalisées par des… basanées : Taubira pour le mariage gay, NVB pour le gender à l’école et ailleurs, puis maintenant la loi travail qui va être la cause d’une explosion sociale ? La question est légitime et mérite d’être posée.
Concernant El Khomri, il est évident qu’elle n’y est pour rien ; elle n’a pas le niveau, elle est là par simple opportunisme. Le système va l’utiliser comme il l’a fait avec tant d’autres, avant elle. Par contre, de grâce, que l’on ne nous dise pas que celle qui a été missionnée pour détruire le salariat en France, est fragile et qu’elle a eu un malaise dû à la pression médiatique et politique. Si c’est le cas, elle n’a qu’à rentrer chez elle et s’occuper tranquillement des enfants ; c’est déjà un plein temps très valorisant…
POLITIQUE – Invitée mardi soir sur le plateau de Laurence Ferrari sur i-Télé, Ségolène Royal a été interrogée sur l’hospitalisation de Myriam El Khomri et sur les critiques dont la ministre du Travail fait l’objet depuis quelques jours.
Et si la ministre de l’Écologie ne s’est pas prononcée sur les causes de son hospitalisation, invoquant le « secret médical », elle a néanmoins déploré les attaques « violentes » dont a fait l’objet sa consœur.
Considérant qu’il est « évident » que les violences en politique s’exercent en priorité sur les femmes ministres, Ségolène Royal a déclaré : « c’est toujours plus difficile, puisqu’il y a toujours un doute sur sa compétence, sa solidité. Mais je peux vous dire qu’elle est à la fois compétente et solide et qu’elle va revenir rapidement », a-t-elle assuré.
Interrogée sur un éventuel « manque de solidarité entre les femmes en politique », la présidente de la COP21 a acquiescé estimant que Myriam El Khomri « a été la cible d’une attaque violente venant d’une femme, même son nom a été utilisé dans cette diatribe », a regretté Ségolène Royal.
La ministre de l’Écologie pense-t-elle à Caroline de Hass lorsqu’elle évoque cette « diatribe » ? « Je n’en dirai pas plus », a-t-elle indiqué après un rire gêné (vidéo en tête d’article). La militante féministe Caroline de Haas est en effet à l’origine de la pétition contre la loi sur le Travail et qui compte aujourd’hui plus de 850.000 signatures.
Le Huffingpost / ITélé