Cochav Elkayam-Levy, la Présidente de la Commission civile israélienne chargée de diffuser la propagande des viols massifs des combattants du Hamas, le 7 octobre 2023, vient d’être accusée de fraude et d’arnaque par la presse israélienne. Elle a cherché à recueillir des millions de dollars en dons pour une soi-disant “Commission Civile” dont elle est la seule gérante ! Comment est-il possible de faire de l’argent et d’arnaquer des donateurs suite à tel événement ? Elle a été médiatisée et mise en avant au point de rendre visite à la Maison Blanche et recevoir le prix Israël (que son prédécesseur pédocriminel patron de l’association Zaka avait également eu) !
Les responsables israéliens se sont “dissociés” d’une avocate qui a joué un rôle vital dans la promotion de fausses allégations selon lesquelles le Hamas aurait systématiquement violé et abusé sexuellement le 7 octobre, rapporte Yedioth Ahronoth le 24 Mars.
Le journal israélien a rapporté des affirmations de responsables du ministère israélien selon lesquelles l’avocate Cochav Elkayam-Levy avait produit des recherches inexactes, diffusé de fausses histoires sur les atrocités du Hamas, et a cherché à recueillir des millions de dollars en dons pour une soi-disant ‘civic commission’ dont elle est le seul membre.
Elkayam-Levy, qui est à la tête de l’Institut Deborah et chargé de cours au Département des Relations Internationales de l’Université hébraïque de Jérusalem, il a été parmi les premiers à répandre de fausses allégations selon lesquelles le Hamas avait perpétré des viols systématiques lors de l’opération Al-Aqsa Flood.
Comme l’a détaillé Grayzone, Elkayam-Levy a présenté des images de femmes combattantes kurdes tuées en Syrie alors qu’elles affirmaient être des Israéliennes Juives qui avaient été tuées et violées par des combattants du Hamas au Nova Music Festival le 7 octobre.
La Grayzone elkayam-Levy a également attiré l’attention du public en décembre après avoir été interviewé par Jake Tapper de CNN et rencontré des membres du Conseil National de Sécurité de la Maison Blanche et Assistant du Président et de la Directrice du Gender Policy Council Jennifer Klein à Washington.
“Les gens se sont dissociés d’elle parce que ses recherches sont inexactes”, a expliqué un responsable de l’un des bureaux du gouvernement Yedioth Ahronoth. “Après tout, toute l’histoire est qu’ils [Palestiniens] veulent nous accuser de répandre de fausses nouvelles, et sa méthodologie n’était ni bonne ni précise.”