[citation source= » »]MAJ : Dans l’impossibilité de répondre individuellement aux centaines de personnes qui m’ont présenté leurs condoléances et témoigné leur soutien, je tiens à leur exprimer mes plus vifs remerciements et les prie de trouver, ici, la manifestation de ma profonde gratitude. Il est important et essentiel de comprendre qu’Alain Soral n’arrive à survivre qu’en raison de l’innocence, de la pudeur et de la dignité de ses victimes qui ne le dénoncent pratiquement jamais. Il peut ainsi continuer, en toute quiétude, à donner libre cours à sa capacité de nuisance démoniaque. C’est pourquoi il faut impérativement faire connaître ses méfaits au plus grand nombre et continuer à les dénoncer, afin que son vrai visage, inhumain et monstrueux, apparaisse en toute lumière. Si vous avez des informations à communiquer, c’est le moment et l’endroit de les poster, car ceci n’a que trop duré. C’est, assurément, faire œuvre de salubrité publique.[/citation]
Notre directeur de publication, Salim Laïbi (Le Libre penseur), vient de vivre une épouvantable tragédie dont, par pudeur, il n’a pas tenu les visiteurs de ce site informés. Il y a quelques jours, en effet, Salim a perdu son fils Abdallah, âgé de 3 ans, rappelé à Dieu à l’issue d’une longue et douloureuse maladie. Ainsi, seuls la famille de Salim, ses proches et ses véritables amis l’ont soutenu durant ces jours accablants.
En ces moments difficiles, voici les condoléances qu’Alain Soral, président d’Égalité et Réconciliation, lui a adressées aujourd’hui sous le titre : « Châtiment ».
Les mots nous manquent pour qualifier ce qu’a osé écrire Soral.
Ainsi, ce que Salim Laïbi dit et écrit depuis longtemps vient, encore une fois, de se vérifier : loin d’être un « chrétien sans reproche », Soral est l’être le plus vil, abject, minable, sordide, piteux, ordurier, sadique, pervers, indigne, ignominieux de toute la pseudo dissidence.
Après avoir pris connaissance du contenu de son mail adressé à Salim, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas qui était Alain Soral. Le suivre, c’est le cautionner, l’absoudre de ses vilénies. Il est temps de choisir son camp dans le grand combat qui s’annonce entre la lumière et les ténèbres.
L’âme de Soral est d’ores et déjà perdue pour l’éternité. Elle ira brûler en enfer. Pour ce qui lui reste de temps à vivre sur cette terre, nous prenons l’engagement de nous en occuper nous-mêmes. À compter d’aujourd’hui, sa vie va changer. Terriblement changer.