Le grand argument de la ministre de la santé actuelle, Madame Agnès Buzyn, salariée extrêmement bien rémunéré par Big Pharma depuis au moins 15 ans, est celui de l’épidémie de rougeole de 2016 qui aurait fait 35 morts dans toute l’Europe, c’est-à-dire, 35 morts pour 510 millions d’habitants. Du coup, elle impose aux 800000 naissances annuelles ainsi qu’à tous les autres enfants qui doivent aller à l’école huit autres vaccins. Ce choix coûtera à la collectivité des dizaines de millions d’euros remboursés par la sécurité sociale et qui iront engraisser les dividendes de Big Pharma. Entre temps, nous pouvons comptabiliser en Europe en 2016, des milliers de morts dues au mésusage médicamenteux !!! Les ordonnances sont tellement longues, certaines dépassant les 20 médocs, que les interactions médicamenteuses sont explosives.
Pourtant le rapport est, là aussi, largement défavorable aux 11 nouveaux vaccins obligatoires puisque les 35 morts – dont il est certain que parmi elles il y avait des vaccinés – dues à l’épidémie de rougeole de 2016 deviennent totalement anecdotiques face à l’hécatombe et au massacre du mésusage médicamenteux. Il faut noter que personne n’a jamais réalisé une campagne de prévention contre cette catastrophe qui comptabilise des dizaines de milliers de morts. Catastrophe dont la prévention ne coûte quasiment rien puisque ne nécessitant que de l’information et de la formation.
On peut également ajouter que plus de la moitié des médicaments vendus sont inutiles mais sont vendus et remboursés quand même. Ils sont alors non seulement inutiles du point de vue thérapeutique, mais ils deviennent aussi très dangereux quand viennent à s’ajouter les effets secondaires – effet cocktail – au malade. Il suffit de lire le livre des Prs Bernard Debré et Philippe Even, Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux (nov. 2016), pour s’en rendre compte et comprendre cette problématique.