Dès que l’on critique la Saoudie maudite, ça ne rate presque jamais, on reçoit immédiatement un ou deux mails nous rappelant que c’est la terre sacrée de la Révélation, que c’est le berceau de l’Islam… bla-bla-bla. Comme si nos critiques concernaient ces aspects précis. En réalité, les fanzouzes de la Saoudie maudite font semblant de ne pas comprendre que l’on s’attaque aux dirigeants du pays et non au peuple et certainement pas à la terre.
Cet article du Parisien-Aujourd’hui en France prouve encore une fois que le prince héritier Salmane, qui a pris comme conseiller l’inénarrable Jacques Attali, n’est rien d’autre qu’un pion, un complice du nouveau désordre mondial.
Pour lui faire gagner du temps au prince Salmane, nous voulions juste lui dire que ça fait 40 ans que Jacques Attali conseille les présidents français, la France ne s’est jamais aussi mal portée, elle est ruinée, désindustrialisée, son système de santé s’est effondré, son peuple paupérisé… Bonne chance !
Projets pharaoniques en Arabie saoudite : les groupes français en embuscadeA Riyad (Arabie Saoudite), le prince héritier, Mohammed ben Salmane, qui a dévoilé fin octobre son plan Vision 2030, compte ouvrir son pays aux investisseurs étrangers. Et les groupes français ont une carte à jouer.Le fait est révélateur. Au forum économique de Riyad, fin octobre, le prince Salmane, dont l’un des conseillers s’appelle Jacques Attali, n’aura croisé qu’une poignée de patrons tricolores (Total, Thales, Société générale…) perdus au milieu d’une foule de dirigeants américains et asiatiques. Pourtant, les groupes français ont une carte à jouer. «L’un des piliers du projet Vision 2030, c’est la gestion intelligente de l’eau et c’est justement notre métier», souligne Louis-Roch Burgard, président de Saur. Dans l’énergie, Total, Engie mais aussi Airbus avancent leurs pions. Les promoteurs de la cité futuriste saoudienne Neom (photo) ont ainsi été séduits par le prototype de taxi volant électrique CityAirbus…