Tiens tiens, y en a un qui va être super content de transformer toutes les femmes en cibles sexuelles potentielles, c’est Grosal… Blague à part, il ne reste plus à l’Occident qu’une seule chose à faire, un suicide collectif pour disparaître de l’histoire de l’humanité une bonne fois pour toutes !
Au pays d’Angela Merkel, le business-model inventé par Travis Kalanick pour les transports payants de passagers se décline désormais dans la sphère du sexe tarifé. Avec l’application Ohlala, plus besoin d’être une pro de la galipette pour monnayer ses charmes.
Un principe simple
En quelques clics, les Berlinois (et seulement eux pour l’instant) en mal de « cinq à sept » postent leur recherche. Localisation, horaire, prestations souhaitées, sans oublier le prix qu’ils sont disposés à payer, rien n’est laissé au hasard. La requête est ensuite transmise aux candidates potentielles présentes dans les environs, qui seules décident d’accepter ou pas. Si c’est le cas, client et prestataire sont alors mis en contact pour peaufiner les détails de la transaction.
Pour la créatrice de l’application, l’allemande Pia Poppenreiter, « l’idée est de laisser le choix aux femmes de monnayer leurs charmes tout en éliminant les intermédiaires potentiels, les obligations d’agenda et tous les autres risques et contraintes avec lesquels une Escort doit compter ». Ohlala vise donc à organiser une activité commerciale régulière de vente de service comme s’il s’agissait d’une activité occasionnelle, exactement comme le très controversé Uber.
Actuellement en version test, Ohlala est principalement accessible via son site Internet, mais si les AppStore l’acceptent dans sa version application, il y a fort à parier que ce nouvel acteur coquin risque de faire parler de lui bien au delà des frontières allemandes. « Sex Uber alles ».