Origines du vaccin Efluelda
Sanofi sort Efluelda en 2020. Ce vaccin cible les plus de 65 ans. Il booste la réponse immunitaire contre la grippe selon eux. Il est mieux que les autres, toujours selon eux, du coup le prix grimpe à 23,97 euros par dose. Les concurrents coûtent au maximum moitié moins cher. En 2024, Sanofi stoppe la production. Le labo conteste les tarifs imposés par l’État.
Pourtant, la grippe 2024 frappe durement. Elle tue 14 717 seniors en excès. L’Élysée alerte sur une urgence sanitaire. La HAS réagit vite en mai 2025. Elle promeut Efluelda comme choix prioritaire. Magique : le gouvernement rembourse à 100 % dès octobre.
La falsification par Crémieux
Anne-Claude Crémieux dirige la Commission vaccins HAS. Elle révise le rapport en juin 2025. Le texte original critique les données ; il note un bénéfice faible et hétérogène. Crémieux efface un paragraphe entier. Elle réécrit pour louer un « effet significatif ». La magie du verbe !
Ainsi, Efluelda passe de « modeste » à « essentiel » en quelques secondes. Des insiders parlent de pression élyséenne. Le Canard dénonce un « caviardage » flagrant. Crémieux ignore les doutes scientifiques initiaux. Elle impose une version pro-Sanofi sans scrupule.
Conflits d’intérêts en cascade
Anne-Claude Crémieux conseille Janssen et Sanofi depuis longtemps. Ces liens remontent à la pandémie Covid. Elle parade sur les plateaux pro-vaccins depuis. La HAS tolère ces déclarations partielles. Pourtant, l’opacité mine la crédibilité. Lionel Collet, ex-conseiller macron, pilote maintenant la HAS. De plus, macron chouchoute Sanofi. Frédéric Oudéa, patron macroniste, succède à un proche.
En 2024, le président promet des relocalisations d’usines. Sanofi menace de perdre des emplois en France et négocie un remboursement de Efluelda qui sauve des milliers d’emplois selon eux ! Ce qui n’est rien d’autre que du chantage, une pratique mafieuse condamnable.
Coûts exorbitants pour la Sécu
La campagne 2025-2026 engloutit 231 millions d’euros. Sanofi commande 17 millions de doses. Le surcoût explose à des dizaines de millions d’euros. Les comptes de la Sécu, déjà très mal, saignent pour un vaccin banal.
En revanche, les alternatives moins chères existent. Sanofi refuse de les livrer. Les experts indépendants hurlent au scandale. Sans oublier que la Cour des comptes alerte sur l’indépendance HAS depuis 2024.
Réactions et suites judiciaires
Les réseaux s’embrasent instantanément. Des médecins exigent une enquête parlementaire. Le Syndicat généraliste fustige les « labos au pouvoir ». Le Sénat et l’Assemblée devraient convoquer d’urgence Crémieux pour une audition afin d’y voir plus clair. Aucune plainte au Parquet pour l’instant. Cependant, les risques pénaux pèsent. Falsification de document : trois ans de prison. Favoritisme : dix ans et un million d’euros d’amende.
Cette affaire est extrêmement grave d’autant que la France est devenue spécialiste de la falsification de documents officiels comme ce fut le cas dans l’affaire des eaux minérales de Nestlé Waters ! Faut-il rappeler qu’il est question ici de faux et usage de faux en écriture publique qui est passible de la cour d’assises car il s’agit bien d’un crime et non d’un délit.
Ça donne une idée précise du degré de corruption qui sévit en France depuis des décennies. Ce sont ces mêmes professeurs cathodiques, amoureux des plateaux médiatiques, qui nous ont vendu le narratif covidiste pendant des années !


























