Comme vous pouvez vous y attendre, les autorités sanitaires sont incapables d’expliquer cette surmortalité très inquiétante, pire encore, elles trouvent pour excuse le “changement climatique” ou je ne sais quel autre argument stupide en décembre alors que la canicule était en juillet-août ! En réalité la situation est très simple à comprendre, la seule chose qui a changé entre les années précédentes et cette année c’est le taux de vaccination des personnes âgées qui sont harcelées quotidiennement afin d’augmenter le nombre de doses d’ARNm. Il suffira ensuite de comptabiliser les raisons de ces décès et de voir si elles sont en lien avec toutes les pathologies autour du sang et de la circulation de ce dernier. C’est très simple à effectuer mais ce ne sera certainement pas les autorités sanitaires qui vont faire ce travail car elles sont responsables de ces injections massives aux effets indésirables graves.
Du côté des entreprises de pompes funèbres, le constat est quasi unanime : depuis le début du mois, elles remarquent une « vague importante de décès ». Les mois de novembre, décembre et janvier sont traditionnellement les plus forts, rappellent les conseillers funéraires, mais là, « c’est très compliqué ». Pour les familles, « car les délais des médecins qui effectuent les constats de décès s’allongent, note-t-on chez Privat-Rhode, à La Roche. Nous sommes confrontés à des problèmes de places dans les funérariums, heureusement qu’on s’arrange entre collègues. Et ça se bouscule pour les célébrations dans les églises. »