Plus on avance dans le temps, plus l’affaire de Tariq Ramadan se complexifie et s’aggrave, dévoilant son vrai visage. On apprend à travers cet article qu’il aurait eu recours aux services d’une entreprise de eRéputation dirigée par un homme d’affaire tunisien, franc-maçon de son état, au réseau bien fourni et dense. On apprend également que la technique de ce monsieur consiste à lâcher ses 2000 comptes pour disliker et commenter négativement toute publication un tant soit peu critique à l’égard de son client ! On remarque d’ailleurs que notre dernière vidéo a été attaquée par une quantité de clics qui ont fait monter considérablement le nombre de dislikes, ce qui ne s’était jamais produit auparavant ; idem pour les commentaires injurieux et les menaces de mort. Tout ceci est donc virtuel et explique pourquoi il n’y avait pas grand monde – quelques dizaines de personnes à peine – à la manifestation de soutien du Trocadéro.
Aussi, cette proximité avec ce franc-maçon explique bien des choses. D’abord, le fait que Tariq Ramadan ait réalisé des conférences dans le temple belge de la maçonnerie, l’ULB et ce à plusieurs reprises. On comprend également ses positions à propos de la théorie du genre et son hostilité clairement affichée envers les JRE ! On comprend beaucoup mieux également pourquoi il ne parle jamais de la secte maçonnique, jamais.
Concernant la vidéo de Monsieur Tariq Ramadan que le site Muslim Post a mise en ligne et qui prouve sa proximité avec la famille du détenu, une question nous turlupine ! Pourquoi cette vidéo n’a-t-elle pas été postée au moment de sa réalisation, il y a plusieurs semaines ? Pourquoi avoir attendu le moment présent ?
D’autant qu’un mensonge est à relever, celui d’avoir affirmé que les plaintes ne concernent que la France alors que l’on sait maintenant qu’une Suissesse a été entendue dans le cadre des plaintes françaises. Que des femmes, ayant été ses élèves au collège de Saussure, ont témoigné et qu’une enquête officielle vient d’être ouverte sur place. Sans oublier le témoignage de la Belge ainsi que la nouvelle plainte aux USA déposée par Me Rabia Chaudry. Bref, cette vidéo devenue tout à fait anachronique a été tournée avant ces nouvelles plaintes et révélations, ce qui nous fait déduire que la défense, ne pouvant faire mieux, s’adapte à l’état d’avancement du dossier ainsi qu’aux trouvailles et autres nouveautés diffusées par les médias ! Se rendent-ils compte que cette vidéo le dessert clairement !
Pour finir, on ne peut ne pas faire remarquer à quel point sa prestation relevait de la théâtralisation et de la mise en scène : la tonalité grave, le volume de la voix, la mimique et la gestuelle… tout ceci semble faux, surfait. Ce sentiment est décuplé quand on sait que Tariq Ramadan a eu recours, à un âge relativement avancé, à la chirurgie esthétique, plus précisément à la greffe capillaire, ce qui lui fait perdre absolument toute crédibilité en tant que prédicateur (sic) voire islamologue tout court, car un tel choix guidé par la quête perpétuelle de séduction, portant sur l’apparence physique et l’esthétique est totalement disqualifiant pour tout être sérieux, dont le sacerdoce est de porter la parole dans le domaine du sacré et de la spiritualité. Pourquoi pas une rhinoplastie et du botox… ! Le comportement dans ce cas là devrait être celui du rejet des apparences, du matérialisme et de la dounia ; les initiés parlent de l’extinction de l’ego et de vœu de pauvreté.
Tout ceci n’est pas très sérieux et met en relief encore une fois le niveau lamentable de ceux qui, au sein de la « communauté française musulmane », s’identifient à ce personnage ! Certes, le présumé violeur est innocent jusqu’à preuve du contraire ; la justice devra vérifier les accusations et se prononcer sur les plaintes, mais il est désormais acquis que Tariq Ramadan et ses sectateurs sont clairement égarés…
En appui de quelques prises de position publiques, des milliers de fervents cyberdéfenseurs de l’islamologue, parfois inventés pour la cause, ont été mobilisés. Enquête.
À la fin du mois d’octobre dernier, alors que la première plainte contre Tariq Ramadan truste avec fracas les Unes des quotidiens et les ouvertures des JT, une cellule de crise se serait réunie en catimini autour de l’islamologue lui-même. Objectif : organiser la campagne de soutien. Il y a là quelques membres de sa garde rapprochée, ses avocats et, L’Express le révèle, un très discret homme d’affaires tunisien. Habitué de la gestion de crise, ce dernier va être au cœur de la stratégie de “riposte” sur Internet…
https://www.youtube.com/watch?v=Mqsq3GRFUNA