On peut être certain d’une chose, il n’y aura pas de coupables dans ces prisons illégales et sans droit. Les coupables resteront toujours dans les ministères et les loges occultes de la secte maçonnique tandis que l’on s’emparera d’un barbu ici et là pour faire semblant de gérer la situation, tout en organisant des attentats à faux drapeaux… Tout ceci fonctionne parfaitement bien depuis que les Lumières ont pris le pouvoir en Occident. Ce qui est sidérant, c’est le fait de vouloir faire comme les criminels yankees malgré leur échec patent. Dernièrement, LCP passait un documentaire concernant Guantánamo Bay et il semble que personne ne prenne en considération les faits et l’expérience du passé !!!
INTERNATIONAL : Le gouvernement français a fait une demande un peu spéciale au Conseil d’État…
Frappée deux fois par le terrorisme en moins d’un an, la France tente coûte que coûte de trouver des moyens préventifs pour déjouer les attaques sur son territoire. Dans cette optique, le gouvernement français a sollicité le Conseil d’Etat afin qu’il se prononce sur la possibilité d’interner les personnes fichées « S » par la DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure) de manière préventive, dans un centre prévu à cet effet.
Comme l’explique l’hebdomadaire français Courrier International, on dénombre environ 20.000 personnes fichées « S » en France dont la moitié pour radicalisation islamiste. L’autre moitié correspond à des membres d’autres mouvements comme le PKK, le Hezbollah ou encore… des hooligans et des personnes violentes affiliées à des idées politiques placées aux extrêmes de l’hémicycle.
Le quotidien italien La Repubblica écrit dans ses pages que le projet est « presque passé en sourdine, mais qu’il risque d’ouvrir une nouvelle polémique en France. » De son côté, Il Giornale évoque “un Guantánamo à la française. Un centre d’internement pour des milliers de suspects d’islamisme pas encore condamnés. »
Si le Conseil d’Etat se prononce en faveur de ce projet, le centre qui ouvrirait serait une première en Europe. De là à comparer cela à la prison de Guantánamo, il n’y a à la fois qu’un pas et un fossé. En effet, ici la détention préventive serait validée par des magistrats administratifs et non pas par un tribunal militaire. Aussi, les détenus pourraient aussi bien être de nationalité française qu’étrangers, au contraire du centre de détention militaire de haute sécurité américain qui n’enferme que des étrangers entre ses murs.