Écrit dans l’article ci-dessous n’est que mensonge et propagande. Comment est-il possible de comptabiliser 10 tonnes de production de CO2 par an pour un humain et 1 tonne pour un chien ! C’est inconcevable. De plus, l’effet de serre le plus important est représenté par la vapeur d’eau qui est un paramètre incontrôlable par l’homme et certainement pas les flatulences des cheptels bovins.
Mais cet article nous donne une idée précise de l’objectif à atteindre par la tyrannie climatiste. Au début, on a expliqué aux gens qu’il fallait consommer moins de viande car les élevages d’animaux sont dangereux pour le climat. Aujourd’hui, on leur explique que le petit poisson rouge ou la perruche dans sa cage sont également extrêmement dangereux pour le climat au même titre que les milliards de bêtes élevées chaque année dans le monde. De fait, il sera demandé aux gens d’euthanasier leur petit animal de compagnie, le chat ou le chien, afin de faire baisser la température de la planète. Qui peut croire de telles sottises ?
Certains animaux sont concernés quand on commence à associer leur existence avec un impact sur le climat, notamment le cheptel bovin.
Il y a parfois un peu de confusion, car dans les gens qui deviennent vegan, certains le deviennent pour soutenir la cause animale, et non pour des raisons climatiques. Quoi qu’il en soit, un certain nombre de personnes commencent à savoir que le cheptel bovin est un facteur important, significatif, à l’échelle mondiale, sur les émissions de gaz à effet de serre.
Mais ce qu’on sait moins, c’est que même les chiens, les chats, les perroquets ou encore les poissons rouges ont un impact puisqu’il y a un impact absolument partout. Pour les poissons rouges, il faut parfois chauffer l’aquarium, l’éclairer, avoir une petite pompe de circulation, etc. Donc avoir des poissons chez soi, ça consomme l’équivalent d’un frigo supplémentaire. Le chat, lui, a besoin de croquettes, de litière, de jouets… Les jouets sont souvent des peluches, donc du pétrole, des fibres synthétiques.
Pour les croquettes, dans les beaux cas de figure, c’est des déchets qu’on ne mangerait pas nous, mais dans de mauvais cas de figure, c’est des morceaux de viande qu’on pourrait manger. Il y a aussi des gens qui gâtent un peu leurs animaux en achetant au marché, du filet de lotte pour leur chat ou du filet de bœuf pour leur chien.
Quid des chiens ?
Avoir un chien représente justement une tonne de CO2 par an, sachant que l’empreinte carbone d’un Français est d’à peu près dix tonnes de CO2 par an. Donc, on augmente son empreinte carbone de 10%, ce qui n’est quand même pas complètement négligeable. Les chiens peuvent aussi pousser à acheter une voiture un peu plus grande, parce qu’on veut avoir la place de pouvoir l’emmener quand on part en vacances.
Et enfin, le plus émissif des animaux de compagnie, c’est le cheval. Car le cheval, ce malpoli, pète, et donc il émet du méthane à cause de ce qu’il mange. Pour un cheval, on est plutôt aux alentours de trois tonnes équivalent CO2 par animal et par an. Donc malheureusement, les animaux de compagnie, comme tout le reste de ce qu’on fait, ont un impact sur le climat.
…
Photo d’illustration : Un chien et un chat. Crédit : Unsplash