Première grande étude non américaine concernant les effets indésirables graves cardiaques chez les adolescents réalisée au CHU de Toulouse. Ont été inclus dans l’étude tous les rapports de pharmacovigilance enregistrés dans la base de donnée mondiale de l’OMS Vigibase® (148 pays, 25 millions de rapports) entre le 1er janvier 2021 et le 14 septembre 2021 dont l’âge (12-17 ans) et le sexe étaient connus mais seuls 4 pays européens ont été étudiés (France, Allemagne, Espagne, Italie, Royaume-Uni). Tous les adolescents ont reçu des vaccins à ARNm Pfizer ou Moderna. Sur 4942 rapports concernant les adolescents, les chercheurs ont identifié 242 péricardites et myocardites, 82 % étaient des garçons avec une moyenne d’âge de 15 ans. Les effets indésirables étaient graves puisque 80 % ont conduit à une hospitalisation des adolescents ! Il y a eu un seul décès. L’étude n’a trouvé aucune différence entre les 2 vaccins Pfizer et Moderna. Le risque de développer une inflammation cardiaque est 5 fois plus important après la 2e dose qu’après la première, ce qui démontre qu’il y a un effet d’accumulation de l’ARN messager dans l’organisme.
Deux réflexions s’imposent à la lecture de cet article, de cette étude observationnelle première du genre en France et dont les médias officiels ne parlent pas. Ça limite évidente concernant les rapports de pharmacovigilance réalisés en France étant donné qu’ils sont largement sous-évalués. De très nombreux témoignages de patients victimes d’effets indésirables graves de la vaccination démontrent que le corps médical va immédiatement nier la réalité de l’effet indésirable et le mettre sur le dos de l’inquiétude ou du… hasard, ce qui est totalement illégal, anti-déontologique, voire criminel. En réalité, le chiffre doit être au moins 10 fois supérieur au résultat de cette étude. L’étude ne parle pas non plus du pourcentage des atteintes cardiaques par rapport au nombre total de vaccinés !
Deuxièmement, l’auteur de l’étude rappelle à la fin de son rapport que le Covid-19 est extrêmement bénin chez les adolescents, il ne représente quasiment aucun risque sur leur santé tandis que nous comptabilisons des dizaines de milliers d’effets indésirables dont une large partie conduit à l’hospitalisation voire au décès des victimes de la vaccination. On peut clairement affirmer que c’est la vaccination qui les a tuées alors que la maladie en était incapable. La situation est d’autant plus grave qu’une étude de l’AP-HP vient de démontrer que le concept du Covid-long est totalement inventé et créé par le terrorisme sanitaire médiatique, alimenté par les morticoles cathodiques complètement irresponsables : G. Deray, K. Lacombe, B. Megarbane… qui poussent quotidiennement à la vaccination des enfants. La peur de l’épidémie a engendré un stress psycho-social selon les chercheurs ! Il faut également ajouter que nous n’avons absolument aucune idée de la gravité de la situation au long terme. Une chose est certaine, ce type d’inflammations cardiaques est considéré comme une atteinte grave de la santé, le concept de « myocardite bénigne » n’existe pas ! En réalité, les cardiologues ont même du mal à savoir si la cause est virale ou bactérienne ! Ce n’est qu’après une évolution favorable que l’on considère que la myocardite n’était pas grave. Lorsqu’elle est plus sévère, elle peut conduire à des insuffisances cardiaques lourdes qui nécessitent des traitements à vie voire un pacemaker. Bien entendu, lorsque la maladie survient par les conditions de la vie et du hasard, elle est largement acceptable par tous. Lorsque celle-ci a touché un adolescent ou un jeune adulte qui n’a rien demandé à cause d’un vaccin censé le protéger contre une maladie imaginaire, cela relève de la faute médicale, du pur sabotage.
Voici la preuve scientifique que le #CovidLong est une création des médias et des ordures morticoles. C'est une maladie psychiatrique, une hypochondrie nourrie par la propagande et le terrorisme sanitaire covidiste. #COVID19 pic.twitter.com/FzwHEBbJtT
— LeLibrePenseur (@LLP_Le_Vrai) December 7, 2021
Cela fait maintenant quelques mois que les adolescents âgés de 12 à 17 peuvent se faire vacciner.
Des interrogations persistent tout de même concernant le risque de développer une inflammation du muscle cardiaque chez cette partie de la population à la suite de la vaccination avec des vaccins à ARN messager. Une récente étude toulousaine s’est d’ailleurs intéressée à ce sujet et révèle notamment l’existence de ce phénomène, mais surtout un risque plus important après la deuxième dose, principalement chez les garçons.
Le risque de myocardite chez les adolescents suite à la vaccination contre la Covid-19
Dans une étude publiée fin novembre dans le European Heart Journal, des chercheurs toulousains se sont intéressés aux risques de déclarer une myocardite et/ou une péricardite chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans suite à l’injection d’une ou deux doses de vaccin à ARN messager, soit Pfizer ou Moderna. Pour rappel, la myocardite est une inflammation du muscle cardiaque et la péricardite, une inflammation du sac fibreux entourant le cœur. À titre d’information, cette étude a été menée par des membres des services de pharmacologie médicale et de cardiologie (adulte et pédiatrique) du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse.
Dr François Montastruc, médecin pharmacologue au centre de pharmacovigilance du CHU de Toulouse et principal investigateur de l’étude, explique ainsi : « Nous avons analysé toutes les déclarations d’effets indésirables à partir de données issues de la base mondiale de pharmacovigilance et principalement de pays européens (France, Allemagne, Espagne, Italie, Royaume-Uni), jusqu’au 14 septembre 2021. Nous avons plus précisément regardé les déclarations de myocardites et péricardites qui semblaient être plus fréquentes chez les jeunes ».
Suite à ces analyses, Dr Montastruc déclare « Parmi les 4 942 déclarations analysées chez les adolescents, nous avons identifié 242 déclarations de myocardites ou péricardites. Parmi ces déclarations, dans huit cas sur dix, une hospitalisation était nécessaire. Le délai moyen d’apparition des premiers symptômes était de 4 jours après la première dose et de 3 jours après la deuxième ». Il ajoute par la suite que le risque de déclarer une myocardite ou péricardite est cinq fois plus important à la suite de la deuxième dose par rapport à la première. De plus, on apprend que « le risque de déclarer une myocardite ou péricardite est dix fois plus important chez les garçons que chez les filles que ce soit à la première ou à la deuxième dose ».
…
Photo d’illustration : Des risques de myocardites chez les garçons vaccinés.Unsplash
Gabriel Foffano,
5 décembre 2021