Les chiffres sont là, ils sont en contradiction totale avec les propos du directeur de l’ARS et la Préfecture qui ont publié un communiqué annonçant 44 cas de variant anglais dans la seule Guadeloupe alors que le rapport de Santé publique France faisait mention de 17 cas seulement dans la semaine du 17 au 23 février.
Étant donné que certains citoyens lisent ces rapports épidémiologiques hebdomadaires, une vidéo virale a dénoncé cette supercherie. Bien entendu, l’ARS et la Préfecture ont communiqué pour expliquer qu’il n’était pas question des données du 17 au 23 février mais plutôt de données en temps réel sorties des labos d’analyse ! Sauf que personne n’a accès à ces données qui ne sont pas publiques et encore moins fiables. Pire encore, vous pouvez lire sur le communiqué initial du 23 février qu’il s’agit bien des chiffres arrêtés au dimanche 21 février !
Ceci est un flagrant délit de mensonge des autorités sanitaires comme on en a l’habitude depuis un an. Un énième mensonge grossier qui va obliger ces mêmes autorités à mentir encore plus et à se ridiculiser avec bien entendu la complicité des médias qui vont valider cette mise au point grossière ! On sait lire encore, on ne peut pas prendre à ce point les gens pour des imbéciles ! Une enquête judiciaire devrait être diligentée pour y voir plus clair et comprendre le pourquoi de telles manipulations !
La situation est d’autant plus grave la falsification de ces chiffres va créer une panique générale dans la population ainsi que des restrictions sanitaires aux conséquences dramatiques sur la santé mentale et sur l’économie locale. Il s’agit purement et simplement de faux et usage de faux en écriture publique, qui relève des assises car considéré comme un crime. Au minimum c’est de l’amateurisme inacceptable à ces postes à responsabilité très bien rémunérés, au pire c’est une falsification. À la justice de faire son travail.