Voici encore une fois la preuve que les élites occidentales malthusiennes veulent réduire la population mondiale. Cela fait des décennies qu’ils souhaitent imposer leur politique, dans les années 70 il s’agissait de la dangerosité de la bombe D et de l’impossibilité de nourrir toute la planète, aujourd’hui ils ont trouvé une autre excuse, le sauvetage du climat. C’est une affaire sérieuse et grave car ils sont parfaitement capables d’empoisonner des aliments, l’eau, les médicaments, l’atmosphère… pour arriver à leurs fins !
Tout ce qui est écrit dans cette tribune est faux, absurde, exagéré et souvent stupide. Une chose est certaine, les Occidentaux dépensent 1000 fois plus d’énergie que le reste de la population mondiale, c’est un fait. Ils n’ont qu’à appliquer leurs conseils et cesser d’embêter la planète avec leurs sottises.
« Réduire la population contribuerait à l’atténuation du réchauffement climatique »
Alors que la population mondiale dépassera les 8 milliards avant la fin de l’année, il est temps d’imaginer de nouvelles solutions pour diminuer la fécondité des humains, assure, dans une tribune au « Monde », l’association Démographie responsable.
L’année 2022 est marquée par l’avancée régulière et implacable du réchauffement climatique, dû à la combustion de ressources fossiles (charbon, gaz, pétrole) accompagnée de l’augmentation de la concentration du CO2 et d’autres gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère. Dans ce contexte, la priorité a longtemps été donnée à ce qui pouvait être fait pour stabiliser, voire inverser cette augmentation, afin d’atténuer le réchauffement.
Cependant, s’adapter à l’évolution climatique devient également une préoccupation majeure. Ainsi sommes-nous conduits à mener de front démarches d’atténuation et d’adaptation. Concrètement, cela revient à privilégier, au sein des démarches d’adaptation de plus en plus urgentes, celles qui vont en même temps dans le sens de l’atténuation du réchauffement climatique.
L’année 2022 est aussi celle d’une prise de conscience. La question des ressources se pose de façon brutale : en témoigne l’apparition répétée du mot « sobriété » dans le débat public…