Encore une boulette qui s’ajoute à la mauvaise estimation de ses biens qui lui fait passer le seuil de l’ISF. C’est qu’il en accumule les boulettes le génie de la finance, le sauveur de la France, le présidentiable bankster sorti de nulle part (en fait de chez Rothschild pour être précis) et présenté comme le messie. Bien sûr, ceci n’est qu’un complot de gens mal intentionnés qui veulent nuire au brillantissime ministre…
Le ministre était censé faire état de toutes ses « participations aux organes dirigeants d’un organisme public ou privé »…
Le ministre de l’Économie n’a pas tout dit. Emmanuel Macron n’aurait pas déclaré sa fonction d’administrateur d’une société privée sur sa déclaration d’intérêt, comme la loi sur la transparence l’y contraint, a révélé mercredi Le Parisien.
Pourtant, cet impératif déclaratif a été institué après l’affaire Cahuzac pour améliorer la transparence de la vie politique et éviter un autre scandale de ce type.
Une présence au conseil d’administration non mentionnée
Les documents signés de la main du benjamin de gouvernement le 24 octobre 2014 ont été transmis à la « haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATPV) ».
Emmanuel Macron était censé faire état de toutes ses « participations aux organes dirigeants d’un organisme public ou privé ».
Toutefois, sa présence au conseil d’administration de la société anonyme Editions Esprit, où il a pris ses fonctions en décembre 2012, n’est pas mentionnée.
Pas de conflit d’intérêts, estime la HATVP
Le ministre de l’Economie n’étant pas rémunéré pour cette fonction, la HATVP, sollicitée par Le Parisien, a estimé qu’elle ne donnait pas lieu à un conflit d’intérêts.
Pour cette raison, elle n’avait pas transmis le dossier du […]
Clémence Apetogbor