La promotion de la prise de cette drogue se fait le plus calmement du monde à la télévision, on se rappelle tous par exemple de Thierry Ardisson qui en a fait la promotion pendant des années sur le service public (sic) et qui continue à le faire aujourd’hui. Si on ajoute à cela le drame social que représente l’alcool, plus exactement l’alcoolisation des masses, au point que Louis Ferdinand Céline traitait le peuple français de peuple “vinassier”, il y a de quoi s’inquiéter pour le futur d’autant que les populations cibles sont les plus jeunes. Ajoutons à cela que le mélange des deux, alcool plus cannabis, fait de très gros dégâts sur les cerveaux des utilisateurs.
Malgré ces chiffres alarmants et l’explosion de la consommation vous ne verrez aucune véritable campagne de prévention nationale réalisée par les autorités publiques pour parler de ce grave problème ! De toute façon, il n’y a rien à attendre de politiciens corrompus, eux-mêmes consommateurs de drogues, qui au lieu de protéger le peuple sont allés jusqu’à légaliser et simplifier les jeux de hasard sur Internet afin de de détruire encore plus les familles…
En 2016, ils étaient 700 000 à en fumer quotidiennement et 5 millions à en avoir consommé au moins une fois dans l’année.
Ces chiffres, résultats du Baromètre santé 2016 de Santé publique France, publiés vendredi par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), indiquent l’affinité des Français pour le cannabis. Ce sont ainsi 17 millions de personnes âgées de 11 à 64 ans qui déclarent avoir fait l’expérience du joint au moins une fois au cours de leur vie et 1,4 millions qui avouent en fumer au moins dix fois par mois. Les Français se classent ainsi parmi les plus gros consommateurs quotidiens en la matière, et plus particulièrement les jeunes âgés de 16 ans, qui arrivent en tête du classement européen, parmi les 35 pays audités, en termes de consommation mensuelle pour l’année 2015.
La consommation de cannabis annuelle concerne majoritairement les jeunes et les hommes : 28 % des 18-25 ans, et parmi cette tranche d’âge, 35 % d’hommes et 21 % de femmes.
Si avec le temps, cette pratique tend à s’amenuiser, ils ne sont plus que 2 % à fumer après 55 ans, les motivations sont multiples : festives, anti-stress, sociabilisation… et valables pour tous les milieux socioculturels.
En matière de risques, l’étude révèle la tolérance relative dont bénéficie le cannabis comparativement à la cocaïne et à l’héroïne. Pourtant, les dommages sont avérés, parmi eux, les troubles de la mémoire, de l’attention et de l’apprentissage ou encore l’aggravation de troubles psychiatriques chez les profils à risques.
Si le prix du gramme a fortement augmenté depuis 2006, le marché de l’herbe de cannabis demeure très dynamique avec quelque 71 tonnes de cannabis saisies en 2016, selon des […]
Géraldine Piriou – Femme Actuelle