La liste des dirigeants félons arabes traîtres qui prennent de manière publique le parti de l’entité sioniste scélérate s’allonge, voici que la crapule du Bahreïn, Khalid ben Ahmed Al-Khalifa, tombe le masque ! Ils ont tous la même tête ces khoubatha, ces traîtres misérables. Ils sont prêts à tuer des musulmans, leurs peuples, pour l’intérêt de Sion !
Sur son compte Twitter, le ministre bahreïni des Affaires étrangères a déclaré qu’Israël avait « le droit de se défendre » contre l’Iran.
Si le rapprochement entre l’État hébreu et les pétromonarchies du Golfe est un secret de polichinelle, jamais un haut responsable de ces pays n’avait encore aussi ouvertement pris position.
« Tant que l’Iran perturbe le statu quo dans la région et considère qu’il peut attaquer à sa guise les autres pays avec ses troupes et ses missiles, tout pays de la région, y compris Israël, a le droit de se défendre en détruisant les sources du danger.» C’est ce qu’écrit le ministre des Affaires étrangères de Bahreïn, le prince Khalid ben Ahmed Al-Khalifa, sur son compte Twitter.
C’est la première fois qu’un haut responsable des pays arabes du Golfe fait une déclaration aussi favorable à Israël. D’autant plus étonnant que cette information se trouve à la une du quotidien bahreïni Akhbar Al-Khalij, un des journaux les plus lus de la petite monarchie pétrolière.« La même aversion pour la République islamique d’Iran »
« Bahreïn a brisé un tabou », estime ainsi le journal libanais L’Orient-le Jour, soulignant que cette déclaration a été faite quelques heures après « les frappes israéliennes contre des positions iraniennes en Syrie, qui auraient abouti à la destruction de 70 cibles militaires iraniennes ».
« Le message est clair », poursuit le journal : Israël et les pays du Golfe « partagent la même aversion pour la République islamique d’Iran ». Cette déclaration est « une rupture » selon le consultant Michael Horowitz, cité par le journal :
« Il y a un rapprochement entre les États du Golfe et Israël, mais il se fait de manière discrète et non officielle.[…] Les propos du ministre bahreïni tranchent par rapport aux non-déclarations des autres pays.»
Pour l’Arabie Saoudite, qui est de loin le pays le plus puissant de la péninsule, « le coût politique d’un rapprochement avec Israël serait extrêmement élevé, puisqu’il pourrait éroder le prestige saoudien dans l’opinion publique des pays arabes, et renforcer le monopole iranien de la “résistance” à Israël.»
Pour le journal, « l’initiative bahreïnie peut être interprétée comme un ballon d’essai ». En effet, Manama « n’a probablement pas pu faire une telle sortie sans consulter préalablement l’Arabie Saoudite ».
Courrier international