En réalité c’est exactement ainsi que fonctionnent les régimes totalitaires, ils mettent en place des moyens assez spectaculaires pour tromper la population et lui dicter la marche à suivre, comment penser correctement et s’exprimer, in fine, comme le veut la Doxa. Si vous ajoutez à cela la censure de tout discours contraire à cette même Doxa, vous avez la certitude d’être dirigé par un dictateur, par un État totalitaire qui refuse toute contradiction, toute remise en cause des décisions prises. Pourtant, ce sont des décisions politiques prises par des hommes et non pas des dieux, elles sont donc critiquables. Curieusement, tous les pseudos démocrates des états occidentaux trouvent cette façon de faire correcte, ne menaçant pas du tout la démocratie et les libertés de penser et de s’exprimer !
Ce sont d’ailleurs ces mêmes démocrates qui vont pousser à la guerre contre la Russie afin de préserver une soi-disant démocratie en Ukraine, démocratie qui n’existe même pas dans leurs propres pays ! Ils sont prêts pour ce faire à déclencher une guerre mondiale suicidaire ainsi qu’un chaos économique.
Mais la question la plus intéressante dans cette révélation de l’embauche et du recrutement de 110 000 personnes qui vont infiltrer les réseaux sociaux afin de rétablir la “vérité” est la suivante : comment sont-ils rémunérés, combien est parti ? Même si les salaires peuvent être bas dans certains pays, la masse est spectaculaire et représente beaucoup d’argent.
Enfin, faut-il rappeler à nos lecteurs que de nombreuses informations considérées comme fausses au début de l’épidémie sont aujourd’hui acceptées par la même Doxa qui les censurait hier ; notamment l’origine du virus par exemple. Le mythe du pangolin s’est écroulé et de très nombreux chercheurs pensent aujourd’hui que l’origine du virus est laborantine. Concernant les injections d’ARN messager, le mythe initial de l’efficacité de 98 % sans effets indésirables s’effondre tous les jours sous nos yeux. Idem bien entendu concernant l’efficacité des confinements qui se sont avérés beaucoup plus dangereux que le virus lui-même sur la santé publique et notamment des plus fragiles, c’est-à-dire les enfants. Bref, les certitudes d’hier s’effondrent petit à petit en laissant place à la vérité qui finit toujours par s’imposer d’elle-même sans aucun effort, sans avoir besoin d’une armée de 110 000 abrutis qui propagent un discours officiel mensonger.
La révélation s’est en fait glissée en octobre 2020 lors d’un podcast du Forum économique mondial intitulé « Seeking a cure for the infodemic » (À la recherche d’un remède contre l’infodémie), bien qu’elle ne devienne virale sur Twitter qu’aujourd’hui.
Dans le podcast, Melissa Fleming, responsable des communications mondiales pour les Nations unies, explique comment la pandémie de COVID et les lockdowns (confinements) ont créé une « crise de communication » en plus d’une urgence de santé publique.
Melissa Fleming reconnaît que pour lutter contre la « désinformation » sur la pandémie, les Nations unies ont recruté 110 000 personnes pour amplifier leurs messages sur les médias sociaux.
« Jusqu’à présent, nous avons recruté 110 000 volontaires de l’information, que nous équipons de connaissances sur la façon dont la désinformation se propage et à qui nous demandons de jouer le rôle de ” premiers intervenants numériques” dans les espaces où la désinformation circule“, a déclaré M. Fleming.
C’était il y a près de deux ans. On ne sait pas combien de « premiers répondants numériques » ont été recrutés à ce jour.
Le Forum économique mondial – À la recherche d’un remède à l’infodémie
Les efforts similaires visant à créer des campagnes astroturf pour faire passer un message spécifique ne sont pas nouveaux, mais lorsque des entités telles que les compagnies pétrolières s’engagent dans cette voie, elles sont accusées de truquer la discussion.
Cependant, lorsque les technocrates mondialistes de l’ONU ou du WEF le font, tout va apparemment bien.
L’année dernière, il a été révélé que le gouvernement britannique a utilisé des tactiques de peur “propagandistes” pour effrayer le public et l’amener à se conformer en masse lors du premier verrouillage du COVID, selon un spécialiste des sciences du comportement qui a travaillé à Downing Street.
Des scientifiques britanniques travaillant en tant que conseillers du gouvernement ont admis avoir utilisé ce qu’ils ont ensuite concédé être des méthodes “non éthiques” et “totalitaires” pour instiller la peur dans la population afin de contrôler le comportement pendant la pandémie.
Comme nous l’avons déjà souligné, le Forum économique mondial préconise désormais la fusion des systèmes d’intelligence humaine et artificielle pour censurer les “discours de haine” et la “désinformation” en ligne avant même qu’ils ne soient autorisés à être publiés.
Dans le cadre de ce que certains ont appelé la “censure préventive“, le Forum économique mondial crée un système qui bloquerait l’affichage des messages s’ils échouent au filtre de censure.
Bien sûr, le WEF, qui est tristement célèbre pour avoir bloqué ses critiques sur Twitter, n’abuserait jamais d’un tel système pour se protéger d’un examen minutieux.
TYLER DURDEN
Authored by Paul Joseph Watson via Summit News,
20 août 2022
Titre de l’article original en anglais : UN Recruited Over 100,000 ‘Digital First Responders’ To Push Establishment COVID Narrative
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Translator