Voici encore une fois la preuve factuelle et définitive qu’Aziz Zemouri avait publié à l’époque de l’agression de Monsieur Boris Faure un article diffamatoire extrêmement grave accusant la victime, qui était entre la vie et la mort au bloc opératoire, d’être l’agresseur et le méchant « raciste ». Pour le coup, l’affaire a été jugée au tribunal et l’agresseur a été condamné à de la prison ferme, il en a même profité pour s’excuser auprès de sa victime pour la violence de ses coups de casque sur le crâne qui ont conduit à un grave traumatisme et une hémorragie cérébrale. Curieusement, malgré cette victoire judiciaire, l’article diffamatoire d’Aziz Zemouri est toujours en ligne sur le site du Point. Le magazine décide donc, en toute connaissance de cause, de garder en ligne des fake niouzes !
Comme de coutume, Aziz Zemouri n’a pas estimé nécessaire de vérifier la version de l’agresseur auprès de la victime ; de toute façon il n’aurait pas pu le joindre puisqu’il était entre la vie et la mort dans un service de réanimation.
Reste à savoir maintenant, lorsque l’on connaît tous les articles bidonnés d’Aziz Zemouri, comment ce dernier a-t-il pu agir en toute impunité pendant des années malgré les condamnations judiciaires et les différents droits de réponse ?
Je demande des excuses à Aziz Zemouri et au Point
Après mon agression à coups de casque j’ai été diffamé dans un article à charge par Aziz Zemouri le 31 août 2017. Il était suggéré que j’avais tenu des propos racistes et que mes blessures étaient fictives. Cet article reprenait en fait les propos de l’agresseur sans filtre, sans vérification, alors que j’étais entre la vie et la mort en réanimation.
« Je demande des excuses à Aziz Zemouri et au Point »
Le journal Le Point vient de s’excuser après l’article bâclé qui a touché Rachel Garido et Alexis Corbiere.
Cet article est signé Aziz Zemouri.
Ceux qui connaissent le monde médiatique parisien connaissent cette personne. J’ai eu hélas à souffrir de sa plume. Pour un article pareillement bidonné. 5 ans après Je n’ai jamais reçu les excuses du Point ni du Journaliste. Je les demande donc ce jour formellement.
Alors que j´étais plongé dans le coma après deux violents coups de casque Le Point avait publié un article qui suggérait que j’étais raciste et qui minorait volontairement mes blessures.
Il est disponible sous ce lien https://amp.lepoint.fr/2153619
Publié quelques heures après mon agression il donnait la parole à Mjid El Guerrab et reprenait sans filtre les propos de l’agresseur en pleine phase d’auto-justification. Aucun contradictoire, aucune prudence dans l’analyse, une version des faits tout simplement « arrangée » et qui permettait de dédouaner en partie l’agresseur.
L’instruction judiciaire et le jugement ont montré que j’avais violemment été agressé, sans avoir tenu le moindre propos raciste. C’était une rencontre fortuite dans la rue. Je n’ai pas empoigné le député En Marche. Ses deux coups de casque ne sont pas des gestes défensifs répondant à une agression de ma part. Tous éléments que l’article mentionnait ou suggérait pourtant.
Mjid El Guerrab a été condamné à trois ans de prison dont un ferme et deux ans d’inéligibilité. ce jugement de Juin 2022 a donc pulvérisé la version fallacieuse écrite par Aziz Zemouri en Août 2017. C’est pour cela que je m’exprime publiquement au sujet de cet article.
Le 30 août 2017 et les jours qui ont suivi le journaliste n’a jamais pris la peine d’interroger mes proches ou des socialistes qui me connaissaient. Il n’a pas fait son boulot de vérification et de contradictoire. L’étiquette de raciste m’a été collée en toute impunité malgré des années de combat internationaliste et anti-raciste.
Ce n’était plus une agression mais une altercation, j’étais le provocateur et le fautif. Comme si le journaliste avait pris le parti de mon agresseur d’emblée. Sur quelle base au juste ? J’aimerais bien le savoir.
Le « journalisme » et la liberté d’expression ont parfois bon dos. La boue, le fiel, la haine ont parfois libre cours dans cette presse qui fait des choix idéologiques, défend Ramadan, Jean-Christophe Lagarde et piétine l’honneur d’un socialiste même quand ils est sur le billard en train de se battre pour ne pas perdre la vie et qu’il ne peut pas se défendre. Je suis resté 3 jours en réanimation à Paris puis ai été réhospitalisé à Bruxelles. J’ai dû être arrêté plus de deux mois pour une hémorragie cérébrale et un traumatisme crânien qui m’ont laissé des séquelles.
J’ai raconté ce triste épisode de journalisme dans mon livre « Coups de casque » qui le mentionne aux pages 53 et 58.
J’attends donc ses excuses puisque désormais ses méthodes sont éventées. Je me réserve le droit avec mes conseils de porter plainte pour diffamation.