Un spectre hante l’Europe, le spectre du fascisme. En Suède, il triomphe déjà, et il est aux portes du Pouvoir en Italie. Partout l’insulte paralysante de fasciste nazifiant d’extrême-droite raciste dictatoriante et autoritante et tyrannisante accable les frères italiens de la belle passionaria patriote Giorgia Meloni, qui a pourtant de beaux yeux, tu sais. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme. Précisément, la bella Giorgia veut redonner à l’Italie ruinée son âme perdue, ou plutôt vendue aux usuriers qui gangrènent l’Europe.
L’histoire de toute société jusqu’à nos jours n’a été que l’histoire des luttes de places. Et les usuriers se sont finalement emparés par la ruse et le mensonge de toutes les places de pouvoir dans les coulisses du grand spectacle politique. Les usuriers « ont joué dans l’histoire un rôle essentiellement révolutionnaire », comme le disait pas aussi précisément Marx. « Partout où ils ont conquis le pouvoir, ils ont foulé aux pieds les relations féodales, patriarcales et idylliques. Tous les liens multicolores qui unissaient l’homme féodal à ses supérieurs naturels, ils les ont brisés sans pitié, pour ne laisser subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que le froid intérêt, que le dur argent comptant usuraire. Ils ont noyé l’extase religieuse, l’enthousiasme chevaleresque, la sentimentalité du petit bourgeois dans les eaux glacées du calcul égoïste usuraire. Ils ont fait de la dignité personnelle une simple valeur d’échange ; ils ont substitué aux nombreuses libertés, si chèrement conquises, l’unique et impitoyable liberté » de l’usure, écrivait pas aussi précisément Moses Kiessel Marx Mordechai Levi, alias Karl Marx.
Par la seule beauté de ses yeux, Giorgia brise le froid intérêt et le calcul égoïste, c’est cela l’idéal fasciste. Par sa seule affirmation vibrante d’être une femme, une mère, une chrétienne, elle brise les démocraties déchaînées de Sodhomme et Ghommort agrippées à la matrice pourrissante des tueurs d’enfants. Par sa seule exquise devise « Dieu, patrie, famille », elle pulvérise l’empire mafieux des usuriers sataniques en putréfaction. La douce et fervente Giorgia veut simplement remettre de l’ordre dans le chaos paroxystique financé par les usuriers ivres de chaos, de dévastation, de ruine et de désolation. Quoi de plus noble en vérité. C’est cette sublime noblesse qui inquiète les usuriers dégénérés. La noblesse est fasciste, la beauté est fasciste, la qualité est fasciste, le génie est fasciste, la vertu est fasciste, l’amour mystique est fasciste, le maître de sagesse Ibn Arabi emprisonné dans les geôles égyptiennes en 1206 était fasciste, Dante était fasciste (condamné au bûcher en 1302 pour avoir contesté et combattu l’ingérence du pape, tous les biens de Dante furent confisqués et il fut banni de Florence, décret de bannissement qui ne fut révoqué par la ville de Florence qu’en 2008 !), Jésus-Christ était ultra-fasciste contre les marchands du Temple, la plus sublime sagesse est fasciste, le divin est fasciste… « Combien est épineux le chemin de la vie, et combien alpestre et dure est la montée que l’homme doit parcourir pour arriver à une véritable valeur !», disait Pétrarque qui était un véritable fasciste ; tout ce qui peut élever l’homme moralement et spirituellement est fasciste, tout ce qui rend fou de rage les anti-fascistes et les usuriers. Mais l’ineffable Giorgia n’en a cure, elle clame et proclame toujours plus haut, toujours plus beau, les vertus de l’ordre prescrit par la sainte nature, seules gages et garantes de l’harmonie parmi les hommes. Que les usuriers régnants tremblent à l’idée d’une révolution fasciste. Les peuples européens n’ont rien à y perdre, hors leurs chaînes. Ils ont un monde à gagner. L’abominable Ursula ronge ses griffes, la créature de Lucifer ne sait plus sur quel pied danser avec la délicieuse Giorgia. Le maléfice est déglingué par la grâce.
La bella donna ne se résigne pas à voir mourir l’Italie et à y voir triompher, main dans la main, le cosmopolitisme babélien mamonique et le wahhabisme des ténèbres. Qui pourrait l’en blâmer ? Gloire et bénédiction à Giorgia la divine. Que Dieu guide ses pas sur les marécages démoniaques de la vie politique. Que le très saint archange Saint-Michel la protège. Que le verbe christique soutienne sa pensée et sa parole dans les situations critiques. Que des légions d’anges éclairent son noble combat. Que le très glorieux archange Gabriel lui inspire les bonnes alliances… Car c’est ici un combat apocalyptique contre les puissances déchaînées de l’Enfer sur Terre, déchaînées contre la lumière du cœur, la lumière des humbles, la lumière terriblement éprouvée, la lumière adamique qui ne veut pas plier, qui ne veut pas s’éteindre, la lumière portée par les yeux bleus de la lionne du latium magnifiquement déterminée. Que le soleil blond de la courageuse Giorgia brille longtemps sur l’Italie. Que sa lumière d’or soigne les cœurs meurtris par les fureurs baaliques acharnées à édifier l’empire du crime et de l’abjection. Que les merveilles laissées par Virgile, Pétrarque, Buonarroti et Raphaël ne soient pas vaines, que les rires semés par Dino Risi, Vittorio Gassman et Nino Manfredi ne soient pas oublier dans la gangrène globaliste, que la poésie de Pirandello ne finissent pas dans les égouts du mondialisme qui débordent déjà de la Fontaine de Trevi, que certains dégénérés osent comparer à la Tour Eiffel… Que l’incrédulité peinte par le Caravage ne soit pas piétinée par les bestiaux incrédules de la modernité… Que la Fenice re-née deux fois de ses cendres soit le phénix du pays des fratelli… Et surtout que l’interprétation des préludes de Debussy par Arturo Benedetti Michelangeli devienne la nouvelle constitution politique italienne éternelle.
Que l’extrême droite combatte à mort l’extrême laideur, tel est le souhait de Dieu lui-même. Et l’orgueil peut être d’une extrême laideur, tout comme l’obséquiosité servile, comme nous avons pu le voir récemment avec l’ignoblissime François Cluzet. Une nouvelle ère s’ouvre, une ère où le meilleur de la femme va se manifester dans tout son éclat. Tel est le message céleste que je lis dans le regard radieux de Giorgia, regard resplendissant qui semble refléter la sagesse oubliée de l’humanité. La tête du Serpent sera peut-être écrasée par le talon fasciste de Giorgia. Qui sait. Jusqu’à son dernier souffle le bestial Serpent accusera ledit talon d’être fasciste. « La meilleure façon de se venger d’un ennemi, c’est de ne pas lui ressembler », disait l’empereur romain Marc-Aurèle. Et le talion du talon de la lionne du latium a déjà conquis le cœur d’une majorité d’électeurs. Rendez-vous dimanche 25 septembre dans les rues de Naples, de Florence et de Rome embaumées déjà des espoirs d’un peuple à l’agonie.
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