C’est une question essentielle et très importante qui doit être posée concernant cette vaccination de masse. Est-il possible que cette dernière puisse favoriser l’apparition de nouveaux mutants ? Qu’en est-il également de la possibilité de création d’anticorps facilitants qui vont aggraver la maladie comme cela a déjà été observé pour la dengue par exemple aux Philippines…
Faut-il rappeler que le professeur Jean-Michel Claverie n’est pas du tout complotiste, ni anti vaccinaliste, bien au contraire, il veut faire vacciner tout le monde et très vite afin d’empêcher l’apparition de variants résistants.
Une vaccination trop peu efficace serait pire que le mal.
En proposant d’allonger les délais entre la première et la deuxième injection la Haute autorité de santé s’est comportée de manière irresponsable.
On comprend pourquoi elle n’a pas été suivie.
Les vaccinés « à moitié » protégés (par une demi-dose) participent involontairement mais activement à la sélection des variants plus résistants. C’est le très sérieux professeur Claverie qui alerte dans la Revue politique et parlementaire.
La vaccination élimine les virus standards, seuls lui échappent les variants plus résistants qui continuent à muter …
Le processus est connu avec la combinaison désastreuse du remdesivir (Yazdanpannah) et du plasma (Karine Lacombe) sur un malade immunodéprimé. Il est redouté pour le nouveau traitement à 2000 euros promu par Big Pharma, les anticorps monoclonaux, pour limiter les risques, des cocktails sont prescrits.
Chez les vaccinés : dangerosité des #variants s’ils demeurent reconnus par nos cellules MAIS ne sont pas reconnus par la neutralisation qu’est censée offrir le #vaccin « Une donnée sur laquelle nous n’avons aucun contrôle »
Quid si les vaccins, même complets, protégeaient mal et immunisaient faiblement certaines catégories de population comme les personnes âgées comme le révèlent les scientifiques ?
On comprend de mieux en mieux ce qui s’est passé en Angleterre.
Nous sommes donc dans la même situation qu’un traitement antibiotique insuffisant ou prématurément interrompu qui augmente la probabilité de l’émergence de bactéries résistantes.
Dans le cas de l’utilisation d’antibiotiques pour combattre les infections bactériennes, on sait qu’il faut frapper vite et fort, pour minimiser l’émergence de bactéries résistantes.
Nous voilà donc dans le pire des cas de figures pour l’émergence de variants : la génération lente et progressive d’une population de vaccinés « à moitié » protégés (par une demi-dose) participant involontairement mais activement à la sélection des variants.
En pleine pandémie active, les variants sont produits chaque jour en grande quantité, dans les non-vaccinés, puis sélectionnés/amplifiés au sein de la petite minorité des vaccinés faiblement protégés par une première dose. De plus, il semble probable que l’immunité acquise par le vaccin ne fait qu’éviter les formes sévères de la Covid-19 sans inhiber l’infection virale peu symptomatique (et donc la création de variants). La décision récente de retarder la seconde dose ne fait qu’empirer ce scénario, en augmentant la population des faiblement immunisés qui sont l’environnement de prédilection pour la création/sélection de variants résistants au vaccin.
C’est ici que le bât blesse : dans l’affolement général, la plupart des gouvernements se sont lancés dans une campagne de vaccination générale sans anticiper les difficultés aussi bien industrielles que logistiques de sa mise en œuvre.
Dans une situation « naturelle » les variants gardent l’énorme handicap de leur rareté (1/1 000) qui rend difficile leur multiplication. Leur fréquence dans la population des virus circulants a donc peu de chance d’augmenter.
Ce n’est plus le cas si l’on cible les virus « standards » par des mesures qui diminuent leur efficacité de multiplication. C’est très précisément le cas de la vaccination, dont l’action recherchée est d’empêcher les virus dotés d’une protéine S standard d’interagir avec le récepteur (par la formation d’anticorps « neutralisants »).
La majorité des virus standards étant (statistiquement) bloqués, cela ouvre un « coupe-fil » aux variants de plus grande affinité pour le récepteur ACE-2, en particulier si leurs modifications les rendent moins reconnaissables par les anticorps vaccinaux (même un peu moins).
La mise en œuvre de la vaccination initie donc un nouveau rapport de force, un processus de sélection, qui enclenche une course entre l’éradication des virus standards circulants, et leur remplacement progressif par les variants soit plus contagieux, soit échappant à la neutralisation vaccinale, soit les deux. Ce processus est grandement favorisé par le fait que les vaccins disponibles ne ciblent que la seule protéine (S) du virus, à la différence de l’immunité naturelle qui cible l’ensemble des composants de la surface des particules virales, rendant très improbable la survenue de mutations multiples seules capables de rendre les variants indétectables par le système immunitaire.
Le ministre de la Santé israelien, Yuli Edelstein, a dénoncé lundi le comportement de certains israéliens vis-à-vis des restrictions actuellement en vigueur pour enrayer la propagation du Covid-19 dans le pays, assurant que la crise sanitaire n’était pas encore terminée malgré une campagne de vaccination menée tambour battant.
« Nous devrons vivre encore longtemps dans l’ombre du coronavirus », a-t-il assuré lors d’un discours au Parlement. « On m’a appris à ne pas mentir et je ne veux pas vous dire que tout sera ouvert dans un mois parce que ce ne sera pas le cas ».
« Certains pensent qu’il ne s’agit que “d’une vague de plus” et que cela se terminera après ça. Mais nous devons le dire en toute honnêteté : ce n’est pas le cas », a martelé le ministre.
C’est l’un des effets collatéraux possibles de la vaccination massive dans ce pays : elle pourrait favoriser l’émergence d’un variant israélien du coronavirus résistant aux vaccins, signale un groupe de travail dirigé par l’armée israélienne, dans une étude relayée samedi 23 janvier par i24news et plusieurs médias.« La campagne de vaccination de masse qui se déroule actuellement en même temps que l’épidémie active en Israël peut entraîner une « pression évolutive » sur le virus et générer des mutations », selon ce rapport du Centre national d’information et de connaissances sur le coronavirus.
Près de 3 millions de personnes ont reçu la première injection du vaccin Pfizer en Israël, soit près d’un tiers de ce pays de 9 millions d’habitants.
Alors n’ayez pas peur, renforcez votre système immunitaire naturel :
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LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE
26 janvier 2021